Dessin d'Omar Khadr, originaire de Toronto au Canada écoutant la sentence de son jugement à la base navale de Guantanamo à Cuba, le 26 octobre 2010. Janet Hamlin / Reuters
Pancartes d’encouragement, sourires du public, rubans orange portés en solidarité avec la couleur des combinaisons à Guantanamo, tous ces signes ont clairement montré à Omar Khadr qu’il pouvait compter sur le soutien de la foule venue assister à son audience.
Le jeune homme de 27 ans demande que la justice lui permette de purger le reste de sa peine dans une prison provinciale, un établissement moins sévère que le pénitencier fédéral à sécurité maximum, où il se trouve actuellement.
→ A (RE)LIRE : Le procès Omar Khadr : un test pour les tribunaux militaires d’Obama
Omar Khadr est accusé d’avoir tué un soldat américain lors de combats en Afghanistan, en 2001. Son avocat rappelle que son client n’avait que 15 ans au moment des faits et que, par conséquent, selon les lois canadiennes, il n’a rien à faire dans une prison à sécurité maximum.
Le Premier ministre s'immisce dans l'affaire
Un argument qui laisse de marbre le procureur de la Couronne. À l’entendre, le Canada ne fait qu’appliquer la sentence décidée par un tribunal militaire américain. De son côté, le Premier ministre canadien a commenté l’affaire. Selon Stephen Harper, le gouvernement va tout faire pour que celui qui a «plaidé coupable à des crimes très sérieux» purge sa peine et se défende «vigoureusement de toute tentative d'atténuement de sa peine pour ces actes odieux». Le juge, qui a entendu tous ces arguments, n’a pas indiqué quand il rendrait sa décision.
Omar Khadr avait été condamné à 40 ans de prison pour crimes de guerre par un tribunal militaire américain de Guantanamo, en novembre 2010. Il avait été renvoyé au Canada en septembre 2012.
Source : Rfi.fr
Le jeune homme de 27 ans demande que la justice lui permette de purger le reste de sa peine dans une prison provinciale, un établissement moins sévère que le pénitencier fédéral à sécurité maximum, où il se trouve actuellement.
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Omar Khadr est accusé d’avoir tué un soldat américain lors de combats en Afghanistan, en 2001. Son avocat rappelle que son client n’avait que 15 ans au moment des faits et que, par conséquent, selon les lois canadiennes, il n’a rien à faire dans une prison à sécurité maximum.
Le Premier ministre s'immisce dans l'affaire
Un argument qui laisse de marbre le procureur de la Couronne. À l’entendre, le Canada ne fait qu’appliquer la sentence décidée par un tribunal militaire américain. De son côté, le Premier ministre canadien a commenté l’affaire. Selon Stephen Harper, le gouvernement va tout faire pour que celui qui a «plaidé coupable à des crimes très sérieux» purge sa peine et se défende «vigoureusement de toute tentative d'atténuement de sa peine pour ces actes odieux». Le juge, qui a entendu tous ces arguments, n’a pas indiqué quand il rendrait sa décision.
Omar Khadr avait été condamné à 40 ans de prison pour crimes de guerre par un tribunal militaire américain de Guantanamo, en novembre 2010. Il avait été renvoyé au Canada en septembre 2012.
Source : Rfi.fr
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