Le scandale des jeunes lesbiennes qui fait la Une de la presse relance une fois de plus le débat sur la dégradation de nos valeurs. Quand un problème se pose, les causes expliquées montrent facilement la voie à prendre pour trouver les solutions. De simples citoyens et des sociologues ont donné les raisons de cet effondrement de notre société : la démission des parents, les conséquences des technologies de l’information et de la communication, le mimétisme envers la culture occidentale. De ce point de vue, on remarque que la préoccupation se limite aux jeunes et c’est vraiment suffisant comme chantier pour remettre notre société sur le droit chemin. La famille doit reprendre le dessus sur l’enfant. Les difficultés de la vie ne sont pas des justifications pour fuir ses responsabilités. Les technologies de l’information et de la communication pour ne pas dire Internet de même que l’influence de l’Occident ne représentent rien devant une jeunesse éveillée et consciente de ses droits et devoirs. Il s’agit plutôt de venir au secours de la famille, cellule de base de la société, en donnant à l’école son véritable rôle d’éducation au civisme et de faire de notre culture un moyen de socialisation et non la base de tout ce qu’on voit de nos jours : des êtres stupides et bornés !
« L’électorat de ce pays a montré qu’il avait aussi la fibre morale », écrivait un confrère, le président de la République reconnaissait récemment lui-même, « l’émergence d’une nouvelle citoyenneté », seulement sa rigueur et ses mesures de redressement ne sont pas pour le moment orientées vers la consolidation de ces acquis qui ne doivent pas être lus seulement sous l’angle politique. Cour de répression de l’enrichissement illicite, Commission de restitution et de recouvrement des biens mal acquis, Office national anti-corruption, tout cela pour la transparence dans la gestion des affaires publiques. C’est bien mais le même engagement doit-être noté pour une société harmonieuse, équilibrée, des jeunes dignes et éloignés de ces comportements contre nature sous nos cieux.
« Je me demande où était son oncle au moment d’éduquer Ndiaga DIOUF », s’interroge Jean-Paul DIAS répondant à l’oncle du nervi tué devant la mairie de Mermoz Sacré-Cœur. La question est pertinente. Nous posons la même question à nos dirigeants en premier le chef de l’Etat, ses conseillers, d’autres députés et sénateurs d’aujourd’hui et de demain, où sont-ils au moment où la société ne marche plus sur ses deux pieds, un pied nature distinct de son pied culture.
Monsieur le président, vous êtes le premier chef de la Brigade des mœurs !
« L’électorat de ce pays a montré qu’il avait aussi la fibre morale », écrivait un confrère, le président de la République reconnaissait récemment lui-même, « l’émergence d’une nouvelle citoyenneté », seulement sa rigueur et ses mesures de redressement ne sont pas pour le moment orientées vers la consolidation de ces acquis qui ne doivent pas être lus seulement sous l’angle politique. Cour de répression de l’enrichissement illicite, Commission de restitution et de recouvrement des biens mal acquis, Office national anti-corruption, tout cela pour la transparence dans la gestion des affaires publiques. C’est bien mais le même engagement doit-être noté pour une société harmonieuse, équilibrée, des jeunes dignes et éloignés de ces comportements contre nature sous nos cieux.
« Je me demande où était son oncle au moment d’éduquer Ndiaga DIOUF », s’interroge Jean-Paul DIAS répondant à l’oncle du nervi tué devant la mairie de Mermoz Sacré-Cœur. La question est pertinente. Nous posons la même question à nos dirigeants en premier le chef de l’Etat, ses conseillers, d’autres députés et sénateurs d’aujourd’hui et de demain, où sont-ils au moment où la société ne marche plus sur ses deux pieds, un pied nature distinct de son pied culture.
Monsieur le président, vous êtes le premier chef de la Brigade des mœurs !
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