« Les travaux ont démarré en 2013 après la pose de la première pierre en 2012, c’était déjà long. On a saisi le ministre de la Formation professionnelle et depuis lors les entreprises sont revenues, le travail se poursuit. Le chef de l’Etat a donné des instructions très claires aussi bien aux ministères de l’Education et de la Formation Professionnelle qu’aux directions des Constructions et du Patrimoine Bâti d’accélérer le travail » a informé le maire de Sandiara.
« Nous voulons inaugurer ce lycée à la rentrée prochaine pour que les quatre sections qui y sont prévues à savoir industrie, agriculture, bâtiment et électricité, hôtellerie et tourisme, soient ouvertes afin que nos élèves ne soient plus obligés d’aller à Dakar pour apprendre un métier comme l’informatique ou quelque chose d’autre » a poursuivi Dr Serigne Guèye diop.
Il assure que ce lycée, « c’est un projet qui nous tient beaucoup à coeur. Si vous visitez le site, vous allez voir que beaucoup d’entreprises sont sur place et que les travaux avancent à grands pas » a dit le maire de Sandiara en marge de la pose de la première pierre, dimanche dernier, de la première école publique franco-arabe du village de Ngomène, dans sa commune.
Pour en revenir au Lycée technique, il va offrir à ses pensionnaires une formation duale consistant en un mois de théorie et quatre mois de pratique en entreprise. L'Etat compte implanter 45 lycées de ce genre dans tout le pays, soit un dans chaque département. Sandiara est considéré comme le laboratoire de ce modèle et son maire, Dr Serigne Guèye Diop, qui est en outre conseiller du président de la République pour les questions agricoles, souhaite une conjugaison des efforts à tous les niveaux de responsabilité pour une livraison de ce futur joyau dans les meilleurs délais.
Le Lycée technique de Sandiara, d’un coût d’un milliard de francs, a vu sa première pierre posée en mai 2012 par le chef de l’Etat lui-même. Presque huit ans après, l’établissement, le premier du genre au Sénégal, peine à démarrer les activités de formation. A Sandiara, un accent particulier est mis sur l’éducation par le Conseil municipal. Sur une population de 30.000 habitants, l’objectif est d’arriver en 2025 à 15.000 étudiants, ce qui serait, comme l’a souligné le maire, une première dans les annales du système éducatif sénégalais.
A travers le Plan Sandiara Emergent (PSE) lancé en 2015 avec le secteur de l’éducation comme priorité déclinée via le concept 1- 10-10 (Une famille, 1 cadre, dans 10 ans), l’ouverture d’écoles primaires et de collèges à un rythme accéléré ainsi que le démarrage de ce lycée technique, traduisent éloquemment cette option résolue du conseil municipal de faire de l’éducation le pilier de l’émergence de cette commune exemplaire.
Le Témoin
« Nous voulons inaugurer ce lycée à la rentrée prochaine pour que les quatre sections qui y sont prévues à savoir industrie, agriculture, bâtiment et électricité, hôtellerie et tourisme, soient ouvertes afin que nos élèves ne soient plus obligés d’aller à Dakar pour apprendre un métier comme l’informatique ou quelque chose d’autre » a poursuivi Dr Serigne Guèye diop.
Il assure que ce lycée, « c’est un projet qui nous tient beaucoup à coeur. Si vous visitez le site, vous allez voir que beaucoup d’entreprises sont sur place et que les travaux avancent à grands pas » a dit le maire de Sandiara en marge de la pose de la première pierre, dimanche dernier, de la première école publique franco-arabe du village de Ngomène, dans sa commune.
Pour en revenir au Lycée technique, il va offrir à ses pensionnaires une formation duale consistant en un mois de théorie et quatre mois de pratique en entreprise. L'Etat compte implanter 45 lycées de ce genre dans tout le pays, soit un dans chaque département. Sandiara est considéré comme le laboratoire de ce modèle et son maire, Dr Serigne Guèye Diop, qui est en outre conseiller du président de la République pour les questions agricoles, souhaite une conjugaison des efforts à tous les niveaux de responsabilité pour une livraison de ce futur joyau dans les meilleurs délais.
Le Lycée technique de Sandiara, d’un coût d’un milliard de francs, a vu sa première pierre posée en mai 2012 par le chef de l’Etat lui-même. Presque huit ans après, l’établissement, le premier du genre au Sénégal, peine à démarrer les activités de formation. A Sandiara, un accent particulier est mis sur l’éducation par le Conseil municipal. Sur une population de 30.000 habitants, l’objectif est d’arriver en 2025 à 15.000 étudiants, ce qui serait, comme l’a souligné le maire, une première dans les annales du système éducatif sénégalais.
A travers le Plan Sandiara Emergent (PSE) lancé en 2015 avec le secteur de l’éducation comme priorité déclinée via le concept 1- 10-10 (Une famille, 1 cadre, dans 10 ans), l’ouverture d’écoles primaires et de collèges à un rythme accéléré ainsi que le démarrage de ce lycée technique, traduisent éloquemment cette option résolue du conseil municipal de faire de l’éducation le pilier de l’émergence de cette commune exemplaire.
Le Témoin
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