Dis moi quels médicaments sont en rupture dans les pharmacies et je te dirai de quels maux ton peuple souffre. Une paraphrase qui s'adapte si bien au constat qui ressort de notre petite enquête menée dans les pharmacie de Touba en cette veille de Magal 2017. Les différents docteur rencontrés soutiennent tous que les antalgiques (médicaments qui calment la douleur), le antipaludéens (contre le paludisme), les médicaments pour soulager le rhume, les diarrhées, les états grippaux ou de fatigue, sont les plus prisés.
Les antalgiques sont très demandés du fait des nombreux accidents sur les routes. La plupart des blessés étant transportés dans les hôpitaux de Touba et ses environs, le personnel soignant a souvent recours à ce type de médicament pour soulager les douleurs intenses.
En cette période de fin d'hivernage, le paludisme a tendance à faire des ravages. Dans une agglomération aussi importante que Touba, les vertus thérapeutiques des antipaludéens aident beaucoup les résidents et les pèlerins à terrasser le paludisme.
Selon le docteur Arona Diakhaté de la pharmacie Serigne Bara, sise sur la route de Dahra Djolof, "les antipaludéens sont sans nul doute les médicaments les plus demandés par les clients, en cette période de Magal. De ce faite, la rupture de stock est inévitable. Jusque dans les trois principaux magasins de ravitaillement de Touba, il en manque. Nous sommes alors obligés de nous rabattre sur les médicaments de seconde zone, c'est à dire, qui ont les mêmes vertus et les mêmes composantes, en moins chers", confie-t-il
Il y a également les médicaments contre le rhume. Qui dit grande affluence, dit forcément beaucoup de poussière et donc une forte exposition des pèlerins au virus du rhume.
A ne pas oublier les cachets pour éradiquer les états grippaux et aussi les états de fatigues. Ca bouge beaucoup à Touba et ça se bouscule très fréquemment, entre les longues processions pour accéder aux différents mausolées pour le ziar. Les pèlerins ont également beaucoup de peine à se déplacer de quartier en quartier pour des visites de courtoisie du fait de la densité du trafic.
Il y a enfin les diarrhées qui sont également fréquentes en cette période de Magal où les hôtes rivalisent en mets délicieux et variés. Et comme ceux qui ont pour nom Diouf, Sène... perdent toute retenue quand ils sont en face de plats plus succulents les uns les autres, ils finissent souvent à la merci des pharmaciens.
Les antalgiques sont très demandés du fait des nombreux accidents sur les routes. La plupart des blessés étant transportés dans les hôpitaux de Touba et ses environs, le personnel soignant a souvent recours à ce type de médicament pour soulager les douleurs intenses.
En cette période de fin d'hivernage, le paludisme a tendance à faire des ravages. Dans une agglomération aussi importante que Touba, les vertus thérapeutiques des antipaludéens aident beaucoup les résidents et les pèlerins à terrasser le paludisme.
Selon le docteur Arona Diakhaté de la pharmacie Serigne Bara, sise sur la route de Dahra Djolof, "les antipaludéens sont sans nul doute les médicaments les plus demandés par les clients, en cette période de Magal. De ce faite, la rupture de stock est inévitable. Jusque dans les trois principaux magasins de ravitaillement de Touba, il en manque. Nous sommes alors obligés de nous rabattre sur les médicaments de seconde zone, c'est à dire, qui ont les mêmes vertus et les mêmes composantes, en moins chers", confie-t-il
Il y a également les médicaments contre le rhume. Qui dit grande affluence, dit forcément beaucoup de poussière et donc une forte exposition des pèlerins au virus du rhume.
A ne pas oublier les cachets pour éradiquer les états grippaux et aussi les états de fatigues. Ca bouge beaucoup à Touba et ça se bouscule très fréquemment, entre les longues processions pour accéder aux différents mausolées pour le ziar. Les pèlerins ont également beaucoup de peine à se déplacer de quartier en quartier pour des visites de courtoisie du fait de la densité du trafic.
Il y a enfin les diarrhées qui sont également fréquentes en cette période de Magal où les hôtes rivalisent en mets délicieux et variés. Et comme ceux qui ont pour nom Diouf, Sène... perdent toute retenue quand ils sont en face de plats plus succulents les uns les autres, ils finissent souvent à la merci des pharmaciens.
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