Devant le silence du gouvernement sénégalais, des politiciens et du « recruteur » qui sont préoccupés ces temps-ci par la conquête du pouvoir, la famille réprime sa colère. « Nous n’avons reçu que la visite de Mame Diarra Bousso Lèye, l’épouse de l’ancien ministre de la Culture qui était notre voisin. Les différentes autorités ont opté pour l’omerta. Nous nous résignons en attendant les résultats de l’enquête. C’est triste de constater à quel point des jeunes peuvent bêtement perdre leur vie pour des politiciens qui n’en valent pas la peine » révèle, d’une voix d’amertume, Lamine Thiam, oncle du défunt et secrétaire général de l’écurie Balla Gaye cité par le journal « Enquête ».
Pour l’oncle du défunt, il refuse, à l’image des autres membres de la famille, de croire en la thèse de la légitime défense. « Il a été touché sur le flanc gauche, de derrière. Il n’a attaqué personne. C’est un innocent qui a été sauvagement tué par un assassin. Barthélémy Dias n’est qu’un meurtrier. Nous réclamons justice et nous souhaitons aussi que les personnes qui ont recruté ces jeunes comme nervis soient démasqués ».
Selon Aliou Diouf, le père de la victime, son fils ne ressemble pas du tout à un nervi. « On ne comprend pas ! Ndiaga a toujours prôné la non violence. Vu son gabarit, il a dû être recruté, ce jour-là, pour assurer la sécurité d’hommes politiques. Mais cela ne lui ressemble pas. Il est si calme, si effacé et ne se souciait que de l’amélioration des conditions de vie de sa famille. Il n’a jamais fumé, ni bu de l’alcool même pas du thé et il était très pieux ».
Le défunt est un plombier de profession, qui a eu à faire une incursion dans l’arène avant de se retirer en 2009.
Pour l’oncle du défunt, il refuse, à l’image des autres membres de la famille, de croire en la thèse de la légitime défense. « Il a été touché sur le flanc gauche, de derrière. Il n’a attaqué personne. C’est un innocent qui a été sauvagement tué par un assassin. Barthélémy Dias n’est qu’un meurtrier. Nous réclamons justice et nous souhaitons aussi que les personnes qui ont recruté ces jeunes comme nervis soient démasqués ».
Selon Aliou Diouf, le père de la victime, son fils ne ressemble pas du tout à un nervi. « On ne comprend pas ! Ndiaga a toujours prôné la non violence. Vu son gabarit, il a dû être recruté, ce jour-là, pour assurer la sécurité d’hommes politiques. Mais cela ne lui ressemble pas. Il est si calme, si effacé et ne se souciait que de l’amélioration des conditions de vie de sa famille. Il n’a jamais fumé, ni bu de l’alcool même pas du thé et il était très pieux ».
Le défunt est un plombier de profession, qui a eu à faire une incursion dans l’arène avant de se retirer en 2009.
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