Le calvaire des malades sénégalais de cancer continue. Malgré l'annonce, en décembre du ministre de la Santé Abdoulaye Diouf Sarr, de l'acquisition de trois machines de radiothérapie. Les appareils qui seraient toujours en cours d'installation, ne sont toujours pas fonctionnels. Les délais de démarrage ont été plusieurs fois dépassés. Pendant ce temps, la souffrance et les douleurs des patients n'ont pas pris de pause.
Ces malades qui ont un besoin pressant de séance de radiothérapie pour leur traitement ne savent plus ou donner de la tête. Leur évacuation vers le Maroc ne se fait plus depuis quelques mois. L'Etat a décidé de ne plus prendre en charge les frais de consultation hors du pays. En attendant donc le démarrage effectif des appareils, les malades sont désorientés et irrités. Surtout que les autorités ont fait un gros coup de Communication pour annoncer l'acquisition des machines. " Je disais tout à l’heure dans l’Hémicycle qu’au mois de janvier les deux hôpitaux vont inaugurer leur appareils de radiothérapie en prenant en charge les premier malades", disait le ministre à l'Hémicycle lors du vote de budget de son département en décembre 2017
Même s'il est vrai que la haute pointe technologique des machines, accélératrices de particules, requiert une expertise et une parfaite maîtrise avant utilisation, pour ne pas mettre en danger la vie des patients et le personnel technique et médical, l'Etat n'a pas le droit de n'avoir rien prévu pour prendre en charge les malades, en attendant l'effectivité des appareils de radiothérapie. Surtout qu'à "Cancerland", la souffrance décuple au fil des jours.
Ces malades qui ont un besoin pressant de séance de radiothérapie pour leur traitement ne savent plus ou donner de la tête. Leur évacuation vers le Maroc ne se fait plus depuis quelques mois. L'Etat a décidé de ne plus prendre en charge les frais de consultation hors du pays. En attendant donc le démarrage effectif des appareils, les malades sont désorientés et irrités. Surtout que les autorités ont fait un gros coup de Communication pour annoncer l'acquisition des machines. " Je disais tout à l’heure dans l’Hémicycle qu’au mois de janvier les deux hôpitaux vont inaugurer leur appareils de radiothérapie en prenant en charge les premier malades", disait le ministre à l'Hémicycle lors du vote de budget de son département en décembre 2017
Même s'il est vrai que la haute pointe technologique des machines, accélératrices de particules, requiert une expertise et une parfaite maîtrise avant utilisation, pour ne pas mettre en danger la vie des patients et le personnel technique et médical, l'Etat n'a pas le droit de n'avoir rien prévu pour prendre en charge les malades, en attendant l'effectivité des appareils de radiothérapie. Surtout qu'à "Cancerland", la souffrance décuple au fil des jours.
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