Arrêté par la Division des investigations criminelles (Dic) après avoir été attaqué par de jeunes fidèles mourides qui voulaient lui faire la peau suite à sa sortie au vitriol sur le porte-parole du Khalife général des mourides, Assane Diouf a été placé en garde à vue depuis vendredi soir. Sa maman qui craint le pire pour lui a fait une sortie sur la Zik Fm pour demander pardon à toute la communauté mouride.
"Si je mourrais aujourd’hui, c’est à Dahrou Salam que je serais enterrée. Je demande pardon aux « Mbackés-mbackés » et à toute la famille de Serigne Touba des paroles d’Assane Diouf. Personne n’oserait le faire dans cette famille, Je demande pardon au monde entier. J’ai cherché par tous les moyens à l’empêcher de faire ses vidéos et d’insulter les gens. Je suis allé vers tous les marabouts mais sans résultats", a-t-elle laissé entendre.
Dans une de ses "Live" sur les Rseaux sociaux, l'insulteur public avait accusé Serigne Bass Abdou Khadre d'avoir encaissé des milliards du régime de Macky Sall.
"Si je mourrais aujourd’hui, c’est à Dahrou Salam que je serais enterrée. Je demande pardon aux « Mbackés-mbackés » et à toute la famille de Serigne Touba des paroles d’Assane Diouf. Personne n’oserait le faire dans cette famille, Je demande pardon au monde entier. J’ai cherché par tous les moyens à l’empêcher de faire ses vidéos et d’insulter les gens. Je suis allé vers tous les marabouts mais sans résultats", a-t-elle laissé entendre.
Dans une de ses "Live" sur les Rseaux sociaux, l'insulteur public avait accusé Serigne Bass Abdou Khadre d'avoir encaissé des milliards du régime de Macky Sall.
Autres articles
-
Campagne de distribution de médicaments contre les MTN : And Gueusseum appelle à l'engagement de ses membres
-
Sénégalais morts à l'étranger : le bilan s'élève à 22 (liste des morts par pays)
-
Mali : un ressortissant sénégalais tué à Kéniéba
-
Kaolack : plusieurs cantines ravagées par un incendie au marché Guedj
-
Vacances de Noël fixées au 24 décembre à 18h par l'Ucad : la Coordination des étudiants Catholiques parle d'un "manque de considération"