«Si on est dans une dynamique de paix, jusqu’ à régler les deux «K», Khalifa Sall et Karim Wade, on est en mesure, dans le même ordre d’idées, de cogiter sur le cas du leader du parti Pastef. Qu’on le veuille ou pas, Ousmane Sonko fait partie du problème, donc il fait partie de la solution, que l’on discute de son cas», a confié Didier Awadi. D’après, le pionnier du hip hop sénégalais, Sonko, dans le contexte politique actuel « fait partie du problème et de la solution ».
Poursuivant dans la même lancée, le lauréat du prix RFI découverte 2003 est revenu sur les tueries, lors des manifestations. Des faits que déplore le rappeur panafricain. «Des personnes, des anonymes qui meurent pour la démocratie sans Justice. Que justice soit faite», a réclamé Didier Awadi.
De l’avis du pionnier du rap sénégalais ou africain le cadre actuel ne s’y prête pas pour le moment pour prétendre à un dialogue inclusif. Dans le cadre actuel, l’ancien rappeur du PBS se félicite des démarches entreprises par des bonnes volontés qui veulent décrisper la situation, déjà tendue pays. Pour Didier Awadi, il faut aussi contenir les colères afin de bannir la culture de la violence.
Ndongo D, du groupe Daara J family a fait état de son indignation, « c’est vraiment, déplorable, je ne pensais que les choses en arriveraient pas à ce niveau. « A mon avis », poursuit-il, « je pense qu’il faut que le peuple reprenne le pouvoir. Cela veut dire qu’il faut qu’il comprenne que le dernier mot lui revient. Je vois des courriers d’anciens présidents. C’est que le Sénégal est un pays de dialogue et que les politiques comprennent que les populations ont atteint une certaine maturité ».
Dans cette impasse toutes les composantes de la population ont leur mot à dire. « Je refuse toujours ce report de l’élection. Le 25 février, c’est déjà mort mais le fait de vouloir nous imposer une nouvelle date. J’ai l’impression que le camp présidentiel veut nous imposer des candidatures », a fait savoir, le lead vocal de Daara Family. Pour Dongo D, la somme de tout cela fait qu’un manque de confiance s’est installé entre les différents camps politiques. « Je pense qu’à un moment, il (Macky Sall,ndlr) a laissé faire. Lui, en tant que gardien de la Constitution, viole la Constitution », a-t-il regretté.
La seule solution qui s’impose, en ce moment, fait comprendre Ndongo D : « c’est le respect du calendrier électoral en organisant une élection le plus rapidement possible. Qu’on laisse le choix à la population. Pour moi, c’est la question sine qua non ».
Tout cela découle de millier d’années de malentendus. C’est comme nous l’avons dit dans la chanson, le pouvoir rend fou. Un tableau de la situation actuelle.
Poursuivant dans la même lancée, le lauréat du prix RFI découverte 2003 est revenu sur les tueries, lors des manifestations. Des faits que déplore le rappeur panafricain. «Des personnes, des anonymes qui meurent pour la démocratie sans Justice. Que justice soit faite», a réclamé Didier Awadi.
De l’avis du pionnier du rap sénégalais ou africain le cadre actuel ne s’y prête pas pour le moment pour prétendre à un dialogue inclusif. Dans le cadre actuel, l’ancien rappeur du PBS se félicite des démarches entreprises par des bonnes volontés qui veulent décrisper la situation, déjà tendue pays. Pour Didier Awadi, il faut aussi contenir les colères afin de bannir la culture de la violence.
Ndongo D, du groupe Daara J family a fait état de son indignation, « c’est vraiment, déplorable, je ne pensais que les choses en arriveraient pas à ce niveau. « A mon avis », poursuit-il, « je pense qu’il faut que le peuple reprenne le pouvoir. Cela veut dire qu’il faut qu’il comprenne que le dernier mot lui revient. Je vois des courriers d’anciens présidents. C’est que le Sénégal est un pays de dialogue et que les politiques comprennent que les populations ont atteint une certaine maturité ».
Dans cette impasse toutes les composantes de la population ont leur mot à dire. « Je refuse toujours ce report de l’élection. Le 25 février, c’est déjà mort mais le fait de vouloir nous imposer une nouvelle date. J’ai l’impression que le camp présidentiel veut nous imposer des candidatures », a fait savoir, le lead vocal de Daara Family. Pour Dongo D, la somme de tout cela fait qu’un manque de confiance s’est installé entre les différents camps politiques. « Je pense qu’à un moment, il (Macky Sall,ndlr) a laissé faire. Lui, en tant que gardien de la Constitution, viole la Constitution », a-t-il regretté.
La seule solution qui s’impose, en ce moment, fait comprendre Ndongo D : « c’est le respect du calendrier électoral en organisant une élection le plus rapidement possible. Qu’on laisse le choix à la population. Pour moi, c’est la question sine qua non ».
Tout cela découle de millier d’années de malentendus. C’est comme nous l’avons dit dans la chanson, le pouvoir rend fou. Un tableau de la situation actuelle.
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