« Le repos biologique est l’instauration d’une fermeture pluriannuelle, annuelle, ou saisonnière de certaines zones de reproduction ou de nourriceries des espèces marines à toute activité de pêche artisanale et industrielle. Il est une des approches utilisées en gestion des pêches qui, combinée avec d’autres mesures, peut contribuer positivement à la reconstitution de stocks surexploités et/ou permettre une exploitation durable des ressources halieutiques », explique un communiqué du service de communication du projet de l’USAID.
Une décision importante car « si elle est respectée, cette mesure devrait contribuer à la régénération de l’habitat marin du poulpe et à une reconstitution de ses stocks. Dans cette optique, plus de 4000 pots seront immergés par les pêcheurs, avant le repos biologique, entre Ndayanne et Joal-Fadiouth ».
Le poulpe devient ainsi une source de revenu importante car « en Asie et en Europe il peut être vendu à 3000 FCFA lorsqu’il atteint les 3 kg. Aujourd’hui, ce sont près de 10000 pêcheurs artisanaux au Sénégal qui s’investissent chaque année dans la pêche au poulpe ».
Une décision importante car « si elle est respectée, cette mesure devrait contribuer à la régénération de l’habitat marin du poulpe et à une reconstitution de ses stocks. Dans cette optique, plus de 4000 pots seront immergés par les pêcheurs, avant le repos biologique, entre Ndayanne et Joal-Fadiouth ».
Le poulpe devient ainsi une source de revenu importante car « en Asie et en Europe il peut être vendu à 3000 FCFA lorsqu’il atteint les 3 kg. Aujourd’hui, ce sont près de 10000 pêcheurs artisanaux au Sénégal qui s’investissent chaque année dans la pêche au poulpe ».
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