Selon le texte, près de 200 participants, des représentants de partis politiques, des organes de contrôle et de supervision des élections, des acteurs du processus électoral, des membres de la société civile, des autorités administratives, des partenaires techniques et financiers, des universitaires, des représentants d’amicales sœurs, des membres d’organisations non gouvernementales, y sont conviés.
La rencontre va permettre aux organisateurs de « rappeler les rôles des chefs de circonscription administrative, de produire un document de référence destiné aux acteurs impliqués dans le processus électoral et de lancer un appel en vue de l’organisation d’élections transparentes dans un climat de paix et de sérénité à la dimension de la maturité démocratique du Sénégal ».
Selon le communiqué, les objectifs spécifiques sont de « tirer les leçons des processus électoraux récents en Afrique et leur impact sur la paix et la stabilité dans les pays ; mener une réflexion sur le processus électoral en cours au Sénégal et les risques réels et potentiels de perturbation des élections, de la paix, de la sécurité et de la stabilité sociale ; lancer un appel aux différents acteurs pour des élections démocratiques et apaisées, etc. »
Les réflexions se feront sous forme de panels. Différentes communications suivies de débats seront présentées par des spécialistes de la matière électorale et de l’administration territoriale, entre autres, souligne le texte.
Au Sénégal, selon le communiqué, l’élection présidentielle du 26 février 2012 suscite déjà tellement de passions, de crispations et de tensions politiques sources de violences que des appels à la paix civile fusent de partout pour que le pays ne sombre pas dans l’impasse.
C’est dans ce contexte que l’Amicale des Administrateurs Civils du Sénégal, « fidèle à sa tradition de neutralité et d’équidistance à l’égard des acteurs politiques, soucieuse de la sauvegarde des valeurs républicaines, de la consolidation des acquis démocratiques et de la préservation de la paix civile qui ont fait et doivent continuer de faire de notre pays un havre de paix et de stabilité », a décidé d’organiser un dîner débat sur le thème « Elections de 2012 et paix civile : contribution de l’Amicale des administrateurs civils du Sénégal ».
La rencontre va permettre aux organisateurs de « rappeler les rôles des chefs de circonscription administrative, de produire un document de référence destiné aux acteurs impliqués dans le processus électoral et de lancer un appel en vue de l’organisation d’élections transparentes dans un climat de paix et de sérénité à la dimension de la maturité démocratique du Sénégal ».
Selon le communiqué, les objectifs spécifiques sont de « tirer les leçons des processus électoraux récents en Afrique et leur impact sur la paix et la stabilité dans les pays ; mener une réflexion sur le processus électoral en cours au Sénégal et les risques réels et potentiels de perturbation des élections, de la paix, de la sécurité et de la stabilité sociale ; lancer un appel aux différents acteurs pour des élections démocratiques et apaisées, etc. »
Les réflexions se feront sous forme de panels. Différentes communications suivies de débats seront présentées par des spécialistes de la matière électorale et de l’administration territoriale, entre autres, souligne le texte.
Au Sénégal, selon le communiqué, l’élection présidentielle du 26 février 2012 suscite déjà tellement de passions, de crispations et de tensions politiques sources de violences que des appels à la paix civile fusent de partout pour que le pays ne sombre pas dans l’impasse.
C’est dans ce contexte que l’Amicale des Administrateurs Civils du Sénégal, « fidèle à sa tradition de neutralité et d’équidistance à l’égard des acteurs politiques, soucieuse de la sauvegarde des valeurs républicaines, de la consolidation des acquis démocratiques et de la préservation de la paix civile qui ont fait et doivent continuer de faire de notre pays un havre de paix et de stabilité », a décidé d’organiser un dîner débat sur le thème « Elections de 2012 et paix civile : contribution de l’Amicale des administrateurs civils du Sénégal ».
Autres articles
-
Rupture entre le F24 et le Pastef : trahison ou ingratitude ?
-
Gestion fonds Covid-19 : « Je ne suis pas concerné par une quelconque information judiciaire » (Abdoulaye Diouf Sarr)
-
Radiation de Barthelemy Dias : « il y a un parfum de revanche politique dans cette affaire », Me Moussa Diop
-
Révocation de Barthelemy Dias : le préfet aurait agi sous l’Article, L 237 du code électoral, selon Me Moussa Diop,
-
"Les Sénégalais n'accepteront pas la dictature", avertit Mamadou Mbodji, Coordonnateur de F24