
Le Front pour la Défense de la Démocratie et de la République (FDR) attaque dans un communiqué en date de ce jeudi 13 mars, « l’Etat de Sonko », dénonçant, « la persécution et à l’emprisonnement de ses opposants politiques, d’instrumentaliser la justice à des fins politiques et de précipiter le pays vers une crise économique et sociale sans précédent ».
« Près d’un an après l’arrivée au pouvoir de Pastef, la situation politique, économique et sociale du Sénégal suscite de vives inquiétudes. Les atteintes à la démocratie et à l’Etat de droit se multipliant installent, au fil des jours, une période bien sombre pour le pays. L’instrumentalisation de la justice à des fins politiques devient une pratique courante, érodant les fondements même de l’Etat de droit et de l’égalité des citoyens devant la loi. Après le cas de Farba Ngom, d’autres députés de l’opposition risquent de perdre leur immunité parlementaire sans qu’aucun dossier d’accusation solide ne soit présenté à l’Assemblée nationale », dénonce le communiqué.
Ajoutant que « le nombre d’activistes critiques du gouvernement, traduits en justice et emprisonnés, ne cesse d’augmenter, dans un climat de répression croissante. L’Etat-Sonko, avec une désinvolture indicible, interdit de voyage des responsables de l’opposition, un des derniers exemples étant celui de l'ancien ministre Mansour Faye, sans qu’aucune décision de restriction de leurs libertés n’ait été prise par la Justice ou qu’une enquête officielle dans des affaires limitativement fixées par la loi n’ait été ouverte les concernant ».
Face à ce qu’il qualifie de persécution et un désir de vengeance ou de représailles de la part de L’Etat-Sonko, le FDR, exige :
-la fin du harcèlement des opposants et l’ouverture de véritables concertations politiques conformément aux traditions démocratiques du Sénégal ;
-la renonciation aux mesures antisociales du pouvoir Pastef, notamment les hausses des prix du carburant et d’autres produits de première nécessité, qui visent à faire payer par la population les conséquences de l’incurie et de l’amateurisme du gouvernement ;
-l’arrêt immédiat et inconditionnel des licenciements organisés dans tous les secteurs de l’économie :
Et le retrait de la loi interprétative de la loi d’amnistie.
Par ailleurs, il en appelle à une mobilisation collective pour préserver la démocratie et éviter que le Sénégal ne sombre dans le chaos.
« Près d’un an après l’arrivée au pouvoir de Pastef, la situation politique, économique et sociale du Sénégal suscite de vives inquiétudes. Les atteintes à la démocratie et à l’Etat de droit se multipliant installent, au fil des jours, une période bien sombre pour le pays. L’instrumentalisation de la justice à des fins politiques devient une pratique courante, érodant les fondements même de l’Etat de droit et de l’égalité des citoyens devant la loi. Après le cas de Farba Ngom, d’autres députés de l’opposition risquent de perdre leur immunité parlementaire sans qu’aucun dossier d’accusation solide ne soit présenté à l’Assemblée nationale », dénonce le communiqué.
Ajoutant que « le nombre d’activistes critiques du gouvernement, traduits en justice et emprisonnés, ne cesse d’augmenter, dans un climat de répression croissante. L’Etat-Sonko, avec une désinvolture indicible, interdit de voyage des responsables de l’opposition, un des derniers exemples étant celui de l'ancien ministre Mansour Faye, sans qu’aucune décision de restriction de leurs libertés n’ait été prise par la Justice ou qu’une enquête officielle dans des affaires limitativement fixées par la loi n’ait été ouverte les concernant ».
Face à ce qu’il qualifie de persécution et un désir de vengeance ou de représailles de la part de L’Etat-Sonko, le FDR, exige :
-la fin du harcèlement des opposants et l’ouverture de véritables concertations politiques conformément aux traditions démocratiques du Sénégal ;
-la renonciation aux mesures antisociales du pouvoir Pastef, notamment les hausses des prix du carburant et d’autres produits de première nécessité, qui visent à faire payer par la population les conséquences de l’incurie et de l’amateurisme du gouvernement ;
-l’arrêt immédiat et inconditionnel des licenciements organisés dans tous les secteurs de l’économie :
Et le retrait de la loi interprétative de la loi d’amnistie.
Par ailleurs, il en appelle à une mobilisation collective pour préserver la démocratie et éviter que le Sénégal ne sombre dans le chaos.
Autres articles
-
Niakhar : l'Etat reprend un terrain d'une superficie de 591 741 m2
-
«Amadou Ba a une peur bleue du nouveau régime », Aguibou Diallo (spécialiste en science politique)
-
Dette cachée du Sénégal: Le FMI a accusé réception de la lettre de l’APR, selon Hamidou Anne
-
Mansour Faye sur la décision de la Cour suprême : « Personne ne pourra m’empêcher de voyager »
-
Thiès : le maire Babacar Diop menace d’interdire les trains miniers en l’absence de mesures de sécurité