Membres du gouvernement, membres du corps diplomatique sous la conduite de leur doyen, des élites des régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest ont pris part à la séance de lancement du plan d’assistance à l’immeuble ministériel. Le chef du gouvernement s’est chargé de rappeler la genèse de cette crise aux personnes présentes. En évoquant les différentes conséquences enregistrées depuis le début. Paralysie du tissu économique, prise d’otage du système éducatif, assassinat de la population et des forces de défense, migration, sans oublier l’enrôlement de jeunes dans les groupes de défense dits « Ambazoniens ». En outre, il souligne que 75000 personnes y sont directement touchées par cette crise. Philémon Yang précise qu’il est temps d’aider les populations de cette partie du pays et que le budget de l’Etat sera mis à contribution (partenaires nationaux, internationaux, et membres du gouvernement …)
Plan Spécial D’assistance
Ce plan révèle avec exactitude les actions que l’Etat envisage de mener sur le terrain, notamment les infrastructures sociales de base : la fourniture d’abris provisoires et la reconstruction des maisons, des points d’eau, la réhabilitation des centres de santé et des écoles, la sensibilisation sur les bonnes pratiques d’hygiène, assurer la réinsertion socio-économique des populations, promouvoir la cohésion sociale et le vivre ensemble, entre autres.
A ce jour, cinq régions du pays sur dix ont déjà manifesté leur élan de solidarité envers les populations sinistrées de la partie anglophone du Cameroun. Toutes les couches sociales y ont participé. Ce sont les élites des régions nord-ouest et sud-ouest qui ont lancé la collecte des fonds ; suivi de ceux des régions du sud, de l’Adamaoua et du nord ; avec une enveloppe de plus de 120 millions FCFA.
Une bouffée d’oxygène pour ces populations de la partie anglophone, car le plan va s’étendre sur 18 mois afin que chaque concerné puisse en bénéficier. A ce jour, l’aide vient de tout horizon. Caritas Internationalis (groupe de 160 associations caritatives catholique), l’organisation des nations unies, sans oublier l’engagement de la France à se joindre à l’état camerounais dans ce sens pour ne citer que ceux-ci.
Dans le même ordre, une concertation au ministère de la communication entre les Hommes des médias et le ministre Issa Tchiroma Bakary fut enrichissante. Il a réuni dans la salle de conférence les éditeurs, les directeurs de publication et les syndicats. Objectif : une mise au point mais surtout une prise en compte des positions divergentes des uns et des autres afin d’envisager une amélioration des conditions de travail et l’épanouissement des hommes et femmes des médias qui joue un grand rôle dans la diffusion de l’information. Il a rappelé la responsabilité des Hommes de médias dans la vie de chaque citoyen Camerounais (rassurer les populations à propos de la crise anglophone). Le ministre de la communication a réitéré son engagement à multiplier ce genre de rencontre dans les jours à venir.
Plan Spécial D’assistance
Ce plan révèle avec exactitude les actions que l’Etat envisage de mener sur le terrain, notamment les infrastructures sociales de base : la fourniture d’abris provisoires et la reconstruction des maisons, des points d’eau, la réhabilitation des centres de santé et des écoles, la sensibilisation sur les bonnes pratiques d’hygiène, assurer la réinsertion socio-économique des populations, promouvoir la cohésion sociale et le vivre ensemble, entre autres.
A ce jour, cinq régions du pays sur dix ont déjà manifesté leur élan de solidarité envers les populations sinistrées de la partie anglophone du Cameroun. Toutes les couches sociales y ont participé. Ce sont les élites des régions nord-ouest et sud-ouest qui ont lancé la collecte des fonds ; suivi de ceux des régions du sud, de l’Adamaoua et du nord ; avec une enveloppe de plus de 120 millions FCFA.
Une bouffée d’oxygène pour ces populations de la partie anglophone, car le plan va s’étendre sur 18 mois afin que chaque concerné puisse en bénéficier. A ce jour, l’aide vient de tout horizon. Caritas Internationalis (groupe de 160 associations caritatives catholique), l’organisation des nations unies, sans oublier l’engagement de la France à se joindre à l’état camerounais dans ce sens pour ne citer que ceux-ci.
Dans le même ordre, une concertation au ministère de la communication entre les Hommes des médias et le ministre Issa Tchiroma Bakary fut enrichissante. Il a réuni dans la salle de conférence les éditeurs, les directeurs de publication et les syndicats. Objectif : une mise au point mais surtout une prise en compte des positions divergentes des uns et des autres afin d’envisager une amélioration des conditions de travail et l’épanouissement des hommes et femmes des médias qui joue un grand rôle dans la diffusion de l’information. Il a rappelé la responsabilité des Hommes de médias dans la vie de chaque citoyen Camerounais (rassurer les populations à propos de la crise anglophone). Le ministre de la communication a réitéré son engagement à multiplier ce genre de rencontre dans les jours à venir.
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