Cette visite doit se concentrer principalement sur les moyens pour sortir la Libye de la crise. Les discussions porteront aussi sur le reste de l'Afrique et les questions internationales. C'est ce qu'indique le communiqué du cabinet de Denis Sassou-Nguesso
Mais pour l'opposition congolaise, qui conteste toujours la réélection de Denis Sassou-Nguesso en mars, cette rencontre, même si elle n'est pas une visite d'Etat, envoie un mauvais signal aux Congolais. C'est ce que déclare Charles Zacharie Bowao, le porte-parole de l'opposition
« Nous aurions plutôt aimé qu’il prenne la pleine mesure de ce qui se passe sur le terrain pour donner les vrais signaux : réaffirmer les intérêts orientés vers le renforcement de la démocratie, le respect des droits humains, le respect de l’Etat de droit. S’il vient pour cautionner les régimes qui ont perdu toute légitimité, il est évident que là, ça ne nous rassure pas. Nous ne savons pas quelles sont conclusions ils en tireront mais du point de vue symbolique, c’est un mauvais message. »
Joint par RFI, le ministre congolais de la Communication, Thierry Moungala explique que « Donald Trump montre là un certain pragmatisme, celui d'échanger avec un des acteurs principaux sur le continent, qui peut lui donner des précisions sur les situations libyenne et africaine en général ». Thierry Moungala qui indique aussi que « ce n'est pas un événement d'être le premier ou le dernier chef d'Etat à rencontrer Donald Trump ».
Mais pour l'opposition congolaise, qui conteste toujours la réélection de Denis Sassou-Nguesso en mars, cette rencontre, même si elle n'est pas une visite d'Etat, envoie un mauvais signal aux Congolais. C'est ce que déclare Charles Zacharie Bowao, le porte-parole de l'opposition
« Nous aurions plutôt aimé qu’il prenne la pleine mesure de ce qui se passe sur le terrain pour donner les vrais signaux : réaffirmer les intérêts orientés vers le renforcement de la démocratie, le respect des droits humains, le respect de l’Etat de droit. S’il vient pour cautionner les régimes qui ont perdu toute légitimité, il est évident que là, ça ne nous rassure pas. Nous ne savons pas quelles sont conclusions ils en tireront mais du point de vue symbolique, c’est un mauvais message. »
Joint par RFI, le ministre congolais de la Communication, Thierry Moungala explique que « Donald Trump montre là un certain pragmatisme, celui d'échanger avec un des acteurs principaux sur le continent, qui peut lui donner des précisions sur les situations libyenne et africaine en général ». Thierry Moungala qui indique aussi que « ce n'est pas un événement d'être le premier ou le dernier chef d'Etat à rencontrer Donald Trump ».
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