Le président américain Barack Obama n'a pas décidé d'intervenir ou non en Syrie. REUTERS/Kevin Lamarque
Le président Obama a dit avoir reçu différentes options de l’armée et avoir eu des conversations approfondies avec son équipe de sécurité nationale, mais il n’a pas encore pris la décision d’intervenir militairement.
Tout comme le vice-président Joe Biden, il est maintenant convaincu que le régime Assad s’est livré à des attaques chimiques. « Si tel est le cas, a-t-il ajouté, il doit y avoir des répercussions internationales ». Il a écarté la possibilité que les gaz aient été utilisés par les rebelles, comme l’affirme Damas, car, selon Barack Obama, ils ne disposent pas des moyens de les disperser.
Tout en poursuivant ses consultations avec les alliés des Etats-Unis, Barack Obama a précisé qu’il ne souhaite pas un conflit de longue durée en Syrie, mais il a ajouté : « Nous devons nous assurer que lorsque des pays ne respectent pas les normes internationales en matière d’armes telles que les armes chimiques qui nous menacent tous, ils doivent rendre des comptes. Nous ne pouvons pas laisser les armes chimiques tomber entre les mains de n’importe qui ».
Même s’il a répété à plusieurs reprises qu'il n'avait pas encore décidé de lancer une opération punitive, ses propos semblent indiquer clairement que telle est bien son intention. La seule question restante est : quand ?
Source : Rfi.fr
Tout comme le vice-président Joe Biden, il est maintenant convaincu que le régime Assad s’est livré à des attaques chimiques. « Si tel est le cas, a-t-il ajouté, il doit y avoir des répercussions internationales ». Il a écarté la possibilité que les gaz aient été utilisés par les rebelles, comme l’affirme Damas, car, selon Barack Obama, ils ne disposent pas des moyens de les disperser.
Tout en poursuivant ses consultations avec les alliés des Etats-Unis, Barack Obama a précisé qu’il ne souhaite pas un conflit de longue durée en Syrie, mais il a ajouté : « Nous devons nous assurer que lorsque des pays ne respectent pas les normes internationales en matière d’armes telles que les armes chimiques qui nous menacent tous, ils doivent rendre des comptes. Nous ne pouvons pas laisser les armes chimiques tomber entre les mains de n’importe qui ».
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Source : Rfi.fr
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