Jean Marie François Biagui est sortir de ses gonds pour réagir suite au propos tenus par Robert Sagna l’ancien maire de la ville de Ziguinchor. « De qui se moque Robert Sagna quand aujourd’hui il déclare tout de go que la revendication de l’indépendance de la Casamance n’est pas un délit ? », s’interroge Jean Marie François Biagui. « Cela donne de la nausée », a fulminé Biagui qui a rappelé que Robert Sagnan a été ministre pendant 22 ans « sans discontinuité », sous les régimes Senghor et Diouf.
Or, c’est «sous le gouvernement successifs du Président Senghor et Abdou Diouf que le Sénégal a connu le plus grand nombre de prisonniers politique de son histoire », a déclaré le leader du MFDC selon qui, le seul tort de ses prisonniers politique a été d’avoir osé revendiquer l’indépendance de la Casamance, ou simplement d’être réputés indépendantistes.
Au-delà des figures emblématiques du MFDC, Jean-Marie François Biagui souligne que des Casamançais anonymes, y compris de ceux de Brin, village natal de Robert Sagna, figurent parmi les prisonniers. « Ils l’ont payé trop cher pour en être marqués de manière définitivement indélébile », s’indigne le chef rebelle. qui rappelle également que le régime de Diouf a monté que « des exécutions sommaires, aveugles et extrajudiciaires sont possibles, et même opérés de manière avérée ».
Dans ce lot d’exactions commises sous le régime de Diouf dont Robert Sagna fut membre, M. Biagui y met « les victimes de la féroce répression menée le 26 décembre par l’Etat contre 1982 par l’Etat contre la mémorable marche refondatrice du MFDC ».
Par ailleurs, Biagui invite l’Etat à bien choisir ses interlocuteurs pour un retour à la paix en Casamance, informe « Enquête ».
Or, c’est «sous le gouvernement successifs du Président Senghor et Abdou Diouf que le Sénégal a connu le plus grand nombre de prisonniers politique de son histoire », a déclaré le leader du MFDC selon qui, le seul tort de ses prisonniers politique a été d’avoir osé revendiquer l’indépendance de la Casamance, ou simplement d’être réputés indépendantistes.
Au-delà des figures emblématiques du MFDC, Jean-Marie François Biagui souligne que des Casamançais anonymes, y compris de ceux de Brin, village natal de Robert Sagna, figurent parmi les prisonniers. « Ils l’ont payé trop cher pour en être marqués de manière définitivement indélébile », s’indigne le chef rebelle. qui rappelle également que le régime de Diouf a monté que « des exécutions sommaires, aveugles et extrajudiciaires sont possibles, et même opérés de manière avérée ».
Dans ce lot d’exactions commises sous le régime de Diouf dont Robert Sagna fut membre, M. Biagui y met « les victimes de la féroce répression menée le 26 décembre par l’Etat contre 1982 par l’Etat contre la mémorable marche refondatrice du MFDC ».
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