La mode n’est plus à l’espagnol en Égypte. Après avoir confié son équipe nationale A à un Argentin (Hector Cuper) et à un Mexicain (Javier Aguirre), la Fédération égyptienne (EFA) a en effet décidé de refaire confiance à un technicien local. Il s’agit en l’occurrence de Hossam El Badry, l’un des entraîneurs les plus expérimentés et les plus titrés du pays.
Hossam El Badry a été préféré à quatre autres Égyptiens : le méconnu Ehab Galal, les ex-attaquants-vedettes Hossam Hassan et Mido, ainsi que la légende Hassan Shehata, qui a remporté trois Coupes d’Afrique des nations de suite (2006, 2008 et 2010) avec les « Pharaons ».
Une référence locale
Après avoir effectué toute sa carrière professionnelle de joueur au Al Ahly SC (1978-1987), l’ex-milieu de terrain s’est lancé en tant que coach à la tête des « Diables Rouges » (2009-2010). Un club cairote qu’il retrouvera encore en 2012-2013 et en 2016-2018 et avec lequel il a gagné deux championnats, une Coupe d’Égypte, une Super Coupe d’Égypte et une Ligue des champions.
Hossam El Badry a également effectué quelques excursions dans des pays voisins : au Soudan, pour diriger le géant Al Merreikh (2011), et en Lybie, avec Al Ahli Tripoli (2013).
Un rêve qui se réalise
Hossam El Badry a fait quelques « infidélités » en dirigeant une autre formation du Caire, ENPPI (2011-2012), et en devenant le président du Pyramids FC, le nouveau-riche du football égyptien.
Hossam El Badry a d’ailleurs démissionné de ce poste, cet été, pour maximiser ses chances d’être choisi par l’EFA. Cette dernière lui a assigné pour mission de qualifier la sélection fanion pour la CAN 2021 et pour la Coupe du monde 2022.
Un grand défi
Remplir ces deux tâches ne sera pas une mince affaire. Mais le vrai défi d’Hossam El Badry sera de convaincre et de séduire. Convaincre car il n’était pas le premier choix du public et de l’EFA, qui préféraient d’autres candidats comme Hossam Hassan. Séduire parce que l’équipe d’Égypte a indigné son public suite à son élimination dès les huitièmes de finale de la CAN 2019 à domicile. Certains « Pharaons » ont donné une triste image d’eux, sur et en-dehors des terrains, durant cette compétition.
Hossam El Badry a été préféré à quatre autres Égyptiens : le méconnu Ehab Galal, les ex-attaquants-vedettes Hossam Hassan et Mido, ainsi que la légende Hassan Shehata, qui a remporté trois Coupes d’Afrique des nations de suite (2006, 2008 et 2010) avec les « Pharaons ».
Une référence locale
Après avoir effectué toute sa carrière professionnelle de joueur au Al Ahly SC (1978-1987), l’ex-milieu de terrain s’est lancé en tant que coach à la tête des « Diables Rouges » (2009-2010). Un club cairote qu’il retrouvera encore en 2012-2013 et en 2016-2018 et avec lequel il a gagné deux championnats, une Coupe d’Égypte, une Super Coupe d’Égypte et une Ligue des champions.
Hossam El Badry a également effectué quelques excursions dans des pays voisins : au Soudan, pour diriger le géant Al Merreikh (2011), et en Lybie, avec Al Ahli Tripoli (2013).
Un rêve qui se réalise
Hossam El Badry a fait quelques « infidélités » en dirigeant une autre formation du Caire, ENPPI (2011-2012), et en devenant le président du Pyramids FC, le nouveau-riche du football égyptien.
Hossam El Badry a d’ailleurs démissionné de ce poste, cet été, pour maximiser ses chances d’être choisi par l’EFA. Cette dernière lui a assigné pour mission de qualifier la sélection fanion pour la CAN 2021 et pour la Coupe du monde 2022.
Un grand défi
Remplir ces deux tâches ne sera pas une mince affaire. Mais le vrai défi d’Hossam El Badry sera de convaincre et de séduire. Convaincre car il n’était pas le premier choix du public et de l’EFA, qui préféraient d’autres candidats comme Hossam Hassan. Séduire parce que l’équipe d’Égypte a indigné son public suite à son élimination dès les huitièmes de finale de la CAN 2019 à domicile. Certains « Pharaons » ont donné une triste image d’eux, sur et en-dehors des terrains, durant cette compétition.
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