De nouveaux soucis en perspective pour la Confédération africaine de football (CAF) ! Après avoir retiré l’organisation de la CAN 2019 au Cameroun, l’instance dirigeante du football africain a décidé d’attribuer l’édition 2021, initialement prévue en Côte d’Ivoire, au pays des Lions Indomptables.
Du coup, les Eléphants vont devoir patienter jusqu’en 2023 pour organiser la CAN chez eux. Et cette décision ne passe absolument pas. Après un premier courrier incendiaire, la Fédération ivoirienne de football (FIF) a consulté mercredi les clubs et les acteurs du football local et à l’issue de cette réunion, l’instance a décidé de porter l’affaire devant le Tribunal Arbitral du Sport (TAS), comme elle l’a annoncé ce jeudi.
"Au terme d’une réunion qui s’est tenue mercredi l’ensemble des clubs et autres acteurs du football présents, au regard des textes régissant la CAF et des règlements internationaux pertinents, à l’unanimité ont demandé à la FIF d’exercer tout recours devant toute juridiction arbitrale ou judiciaire nationale ou internationale compétente afin de faire valoir ses droits. (...) La FIF a saisi, ce jour même, le TAS d’un recours contre la décision de la CAF", indique la FIF dans un communiqué, avant d’accuser le président de la CAF, Ahmad, d’avoir tout décidé lui-même sans concertation.
Cacophonie à la CAF.
"La FIF a été surprise d’apprendre que le président de la CAF a décidé de sa seule autorité, et sans aucune concertation préalable avec elle, de réattribuer au Cameroun l’organisation de l’édition 2021 confiée jusque-là à la Côte d’Ivoire. (...) Les préparatifs et travaux nécessités par l’organisation de cette grande compétition, particulièrement importante pour tout le football ivoirien et pour toute la Côte d’Ivoire constituent un investissement économique, financier et humain conséquent. Toutes les énergies ont été et restent mobilisées afin de faire de cet événement une fête continentale en Côte d’Ivoire", conclut la FIFA.
Au cours des prochains mois, le TAS va donc devoir se prononcer sur cet épineux sujet. Ahmad va sans doute justifier sa position en affirmant que les retards dans les travaux sont déjà trop importants pour permettre aux Eléphants d’organiser la CAN chez eux dans un peu plus de deux ans, comme il l’a répété ces derniers jours. Le dirigeant a même assuré que le comité exécutif de la CAF a entériné cette décision dès le 30 novembre. Sauf que Musa Bility, membre de ce comité, tient un discours radicalement différent en affirmant que rien n’a encore été décidé pour 2021. Tout se jouera donc devant le TAS...
Du coup, les Eléphants vont devoir patienter jusqu’en 2023 pour organiser la CAN chez eux. Et cette décision ne passe absolument pas. Après un premier courrier incendiaire, la Fédération ivoirienne de football (FIF) a consulté mercredi les clubs et les acteurs du football local et à l’issue de cette réunion, l’instance a décidé de porter l’affaire devant le Tribunal Arbitral du Sport (TAS), comme elle l’a annoncé ce jeudi.
"Au terme d’une réunion qui s’est tenue mercredi l’ensemble des clubs et autres acteurs du football présents, au regard des textes régissant la CAF et des règlements internationaux pertinents, à l’unanimité ont demandé à la FIF d’exercer tout recours devant toute juridiction arbitrale ou judiciaire nationale ou internationale compétente afin de faire valoir ses droits. (...) La FIF a saisi, ce jour même, le TAS d’un recours contre la décision de la CAF", indique la FIF dans un communiqué, avant d’accuser le président de la CAF, Ahmad, d’avoir tout décidé lui-même sans concertation.
Cacophonie à la CAF.
"La FIF a été surprise d’apprendre que le président de la CAF a décidé de sa seule autorité, et sans aucune concertation préalable avec elle, de réattribuer au Cameroun l’organisation de l’édition 2021 confiée jusque-là à la Côte d’Ivoire. (...) Les préparatifs et travaux nécessités par l’organisation de cette grande compétition, particulièrement importante pour tout le football ivoirien et pour toute la Côte d’Ivoire constituent un investissement économique, financier et humain conséquent. Toutes les énergies ont été et restent mobilisées afin de faire de cet événement une fête continentale en Côte d’Ivoire", conclut la FIFA.
Au cours des prochains mois, le TAS va donc devoir se prononcer sur cet épineux sujet. Ahmad va sans doute justifier sa position en affirmant que les retards dans les travaux sont déjà trop importants pour permettre aux Eléphants d’organiser la CAN chez eux dans un peu plus de deux ans, comme il l’a répété ces derniers jours. Le dirigeant a même assuré que le comité exécutif de la CAF a entériné cette décision dès le 30 novembre. Sauf que Musa Bility, membre de ce comité, tient un discours radicalement différent en affirmant que rien n’a encore été décidé pour 2021. Tout se jouera donc devant le TAS...
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