Le CNRA a rencontré mardi 30 avril, une délégations de scénaristes pour échanger avec eux sur les programmes de divertissement destinés à accompagner les familles, durant le mois d’abstinence.
La réunion qui a eu lieu dans les locaux de l’Institution, a été convoquée par le Président Babacar Diagne avec pour objectifs de sensibiliser les acteurs sur la nécessité de conformer leurs productions aux réalités sociologiques et culturelles du pays. Un communiqué a déjà été rendu public la semaine dernière sur la question des Sketches RAMADAM, rappelle-t-on.
La délégation conduite par le Journaliste et scénariste Mamadou BITEYE, a été très réceptive aux avis et recommandations du Conseil National de Régulation de l’Audiovisuel qui a expliqué vouloir prévenir d’éventuels manquements au respect des valeurs que les Sénégalais ont en partage.
« Nous voulons privilégier la prévention, la sanction ne devant intervenir qu’en ultime recours », a expliqué le Président Diagne soutenu dans son argumentaire par ses collaborateurs membres de l’Assemblée du Conseil, parmi lesquels l’écrivain et dramaturge Alioune Badara BEYE et le Pr Djiby DIAKHATE, sociologue.
Le besoin de rencontrer les scénaristes pour les sensibiliser en amont, s’explique par la fréquence dans l’espace audiovisuel, en période de Ramadan notamment, de productions en totale contradiction avec les valeurs religieuses auxquelles sont attachés les Sénégalais.
Les dérives notées dans les productions sous le label Sketches Ramadan ont déjà donné lieu à des mises en demeure servies aux éditeurs par le Régulateur.
Le CNRA a plus d’une fois, été saisi de plaintes de personnalités et organisations de divers horizons et obédiences socio-cultuelles indisposées par des programmes en totale contradiction avec ce que les Sénégalais ont de plus cher, leurs croyances religieuses en l’occurrence. Dans un tel contexte, il est incompréhensible qu’au non d’un projet de divertissement, il puisse y avoir des productions audiovisuelles en violation des règles de coexistence dans le respect des diversités.
Les scénaristes ont exprimé leur totale adhésion à la démarche du Régulateur et se sont engagés à partager les recommandations de l’Institution. Le souhait des parties est d’obtenir que les moments de divertissement à proposer aux populations restent des occasions de rencontre entre l’utile et l’agréable. Avec à l’esprit, la double fonction pédagogique et thérapeutique du théâtre, sous toutes ses formes.
La réunion qui a eu lieu dans les locaux de l’Institution, a été convoquée par le Président Babacar Diagne avec pour objectifs de sensibiliser les acteurs sur la nécessité de conformer leurs productions aux réalités sociologiques et culturelles du pays. Un communiqué a déjà été rendu public la semaine dernière sur la question des Sketches RAMADAM, rappelle-t-on.
La délégation conduite par le Journaliste et scénariste Mamadou BITEYE, a été très réceptive aux avis et recommandations du Conseil National de Régulation de l’Audiovisuel qui a expliqué vouloir prévenir d’éventuels manquements au respect des valeurs que les Sénégalais ont en partage.
« Nous voulons privilégier la prévention, la sanction ne devant intervenir qu’en ultime recours », a expliqué le Président Diagne soutenu dans son argumentaire par ses collaborateurs membres de l’Assemblée du Conseil, parmi lesquels l’écrivain et dramaturge Alioune Badara BEYE et le Pr Djiby DIAKHATE, sociologue.
Le besoin de rencontrer les scénaristes pour les sensibiliser en amont, s’explique par la fréquence dans l’espace audiovisuel, en période de Ramadan notamment, de productions en totale contradiction avec les valeurs religieuses auxquelles sont attachés les Sénégalais.
Les dérives notées dans les productions sous le label Sketches Ramadan ont déjà donné lieu à des mises en demeure servies aux éditeurs par le Régulateur.
Le CNRA a plus d’une fois, été saisi de plaintes de personnalités et organisations de divers horizons et obédiences socio-cultuelles indisposées par des programmes en totale contradiction avec ce que les Sénégalais ont de plus cher, leurs croyances religieuses en l’occurrence. Dans un tel contexte, il est incompréhensible qu’au non d’un projet de divertissement, il puisse y avoir des productions audiovisuelles en violation des règles de coexistence dans le respect des diversités.
Les scénaristes ont exprimé leur totale adhésion à la démarche du Régulateur et se sont engagés à partager les recommandations de l’Institution. Le souhait des parties est d’obtenir que les moments de divertissement à proposer aux populations restent des occasions de rencontre entre l’utile et l’agréable. Avec à l’esprit, la double fonction pédagogique et thérapeutique du théâtre, sous toutes ses formes.
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