Le nouveau président de l'Assemblée nationale ivoirienne, Guillaume Soro, après son élection, le 12 mars 2012 à Yamoussoukro. AFP / Sia Kambou
« Présider notre Assemblée nationale constitue un immense honneur. Je m’engage à ne pas vous décevoir ». Ainsi s’est exprimé Guillaume Soro, qui ne cachait pas son émotion en s’adressant aux nouveaux députés qui venaient de le porter à la tête du nouveau Parlement.
Seul candidat au perchoir, l’ex-rebelle devenu député sur la liste du RDR et présenté par le même parti pour présider l’Assemblée, a eu un véritable plébiscite avec 236 sur les 249 votants, soit 94,77%.
Dans ses premiers mots de président de l’Assemblée nationale, Guillaume Soro a dit qu’il veut être digne de cette prestigieuse institution en travaillant sans relâche au rassemblement du peuple ivoirien.
Quant à la composition du nouveau Parlement, dominé par le RDR et le PDCI, les principaux partis du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix, Guillaume Soro a souhaité que la représentation nationale soit ouverte au débat. Le chef de l’Etat, dit-il, ne concevra pas que notre Assemblée soit une chambre d’enregistrement.
Après avoir reçu les félicitations des députés qui venaient de le porter à leur tête, le nouveau président du Parlement ivoirien est allé s’incliner sur la tombe de Félix Houphouët-Boigny.
Source: RFI
Seul candidat au perchoir, l’ex-rebelle devenu député sur la liste du RDR et présenté par le même parti pour présider l’Assemblée, a eu un véritable plébiscite avec 236 sur les 249 votants, soit 94,77%.
Dans ses premiers mots de président de l’Assemblée nationale, Guillaume Soro a dit qu’il veut être digne de cette prestigieuse institution en travaillant sans relâche au rassemblement du peuple ivoirien.
Quant à la composition du nouveau Parlement, dominé par le RDR et le PDCI, les principaux partis du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix, Guillaume Soro a souhaité que la représentation nationale soit ouverte au débat. Le chef de l’Etat, dit-il, ne concevra pas que notre Assemblée soit une chambre d’enregistrement.
Après avoir reçu les félicitations des députés qui venaient de le porter à leur tête, le nouveau président du Parlement ivoirien est allé s’incliner sur la tombe de Félix Houphouët-Boigny.
Source: RFI
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