World Vision Sénégal, dont l’objectif est de protéger les enfants au sein de l’organisation et au sein des communautés, cherche des moyens d’éviter de porter préjudice cette frange de la population, en saisissant toutes les occasions possibles pour les aider à être plus en sécurité dans leurs familles. Il s’agit ici, de mettre en place des mécanismes de plainte et d’intervention, de tenir compte des menaces et des enjeux liés à la protection des enfants lors de la conception des programmes. Il s’agit également d’inciter les partenaires à devenir des organisations encore plus à l’écoute de la sécurité et à la participation des enfants.
En effet, World Vision Sénégal travaille aujourd’hui avec plus de 56 collectivités avec des bénéfices directs pour plus de 60.000 enfants. Pour le bien être de ses enfants, leurs familles et leurs communautés, la structure facilite des programmes intégrés de développement qui prennent en charge le parrainage d’enfants, l’éducation, la santé, l’accès à l’eau potable, le développement économique, etc. «Plusieurs activités menées avec des élèves nous ont permis d’exploiter leur potentiel artistique, ils se sont exprimés sur le dessin dans la région de Kolda. Le but est de promouvoir, la sensibilisation et la prise de conscience des parents, des autorités, sur le fléau qui empêche leur développement et leur épanouissement. Il s'agit aussi de toucher les problématiques liées à leurs droits, à leur santé et leur bien être. Mais aussi de les préparer à être des vecteurs de changement dans leurs environnements scolaires », souligne Fatou Mandiang Diatta,.
L'artiste sénégalaise établie en Allemagne qui rappelle que «de 2013, 2014 et 2015, (ils) avaient fait passé des messages à travers la peinture, le théâtre, entre autres», note des changements remarquables chez les populations. "Il reste du chemin", dit-elle toutefois. «La problématique sur la protection de l’enfance demeure dans cette partie du Sénégal…», selon Sister Fa qui lance qu'«il reste maintenant à intensifier le combat et même l’élargir hors de nos frontières parce que le Sénégal a hérité de certaines problématiques à travers le voisinage». Il faut rappeler que le partenariat entre World Vision Sénégal et l’artiste pour promouvoir le bien-être de l’enfant, date de 2013.
En effet, World Vision Sénégal travaille aujourd’hui avec plus de 56 collectivités avec des bénéfices directs pour plus de 60.000 enfants. Pour le bien être de ses enfants, leurs familles et leurs communautés, la structure facilite des programmes intégrés de développement qui prennent en charge le parrainage d’enfants, l’éducation, la santé, l’accès à l’eau potable, le développement économique, etc. «Plusieurs activités menées avec des élèves nous ont permis d’exploiter leur potentiel artistique, ils se sont exprimés sur le dessin dans la région de Kolda. Le but est de promouvoir, la sensibilisation et la prise de conscience des parents, des autorités, sur le fléau qui empêche leur développement et leur épanouissement. Il s'agit aussi de toucher les problématiques liées à leurs droits, à leur santé et leur bien être. Mais aussi de les préparer à être des vecteurs de changement dans leurs environnements scolaires », souligne Fatou Mandiang Diatta,.
L'artiste sénégalaise établie en Allemagne qui rappelle que «de 2013, 2014 et 2015, (ils) avaient fait passé des messages à travers la peinture, le théâtre, entre autres», note des changements remarquables chez les populations. "Il reste du chemin", dit-elle toutefois. «La problématique sur la protection de l’enfance demeure dans cette partie du Sénégal…», selon Sister Fa qui lance qu'«il reste maintenant à intensifier le combat et même l’élargir hors de nos frontières parce que le Sénégal a hérité de certaines problématiques à travers le voisinage». Il faut rappeler que le partenariat entre World Vision Sénégal et l’artiste pour promouvoir le bien-être de l’enfant, date de 2013.
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