Monsieur Ndiaye accuse surtout, « la gestion solitaire et hasardeuse d’un bureau municipal incompétent. Cette gestion tumultueuse compromet le devenir de la cohésion des trois composantes : Popenguine, Ndayane et Popenguine sérère ». D’autres problèmes liés aux hommes sont soulevés comme « des nouveaux conseillers municipaux - non formés- sont livrés à eux-mêmes, rendant leur intervention quasi nulle. La communauté chrétienne ne compte aucun conseiller municipal ! Le Maire très suffisant, tergiverse dangereusement dans ses choix impopulaires, méprisant tout et tous ! ».
« Les organes de la commune souffrent d’un dysfonctionnement sévère et d’une incohérence notoire. La seule et lucrative commission technique domaniale fonctionne sur fond de spéculation. Le Secrétaire municipal agissant pour son seul compte accentue les dérives du Maire. Les textes du Code des collectivités les plus élémentaires sont bafoués. La secrétaire du maire, demeure toujours avec son statut de conseillère municipale et ce malgré les maintes réclamations auprès du Représentant de l’Etat. Les litiges et conflits fonciers sont récurrents et les problèmes s’annoncent délicats en perspective ».
« Le cadastre établi confirme la vision de séparation en filigrane et ce avec la complicité de services départementaux ( Urbanisme et Cadastre) qui ont repris les plans de la commune et permis au Maire à lui tout seul de reconstituer illégalement et bizarrement le registre foncier ! Le futur Hôtel de ville en construction est en arrêt. Il est implanté sans délibération par la seule volonté du maire obéissant toujours dans une logique de séparation. La Tutelle affiche une passivité voire complicité embarrassante ! Les délégués de quartiers tâtonnent car ne sachant quoi faire. Les populations sont écartées du processus ».
Conséquences de toute cette situation : « La commune baigne dans l’insalubrité. Les bêtes divaguent et les moustiques prolifèrent. Les ordures infestent les rues. Les allées de belle route de contournement sont grignotées par une occupation foncière irrégulière. Les arbres décoratifs qui longent la voie meurent. Le littoral sauvagement occupé avec des résidences fermées la plupart du temps ou menacent de s’effondrer. La jeunesse est délaissée et ses activités non soutenues. Les élèves de l’école Armand Ndiaye toujours anxieux car étant sous la menace de délocalisation. Le nouveau lycée est en souffrance (manque de classe, absence de bloc administratif, mur de clôture inachevé… Le Comité de gestion est inopérant au niveau du centre de santé. Le virage sur la route principale constitue un réel danger (absence de signalisation)… ».
« Les organes de la commune souffrent d’un dysfonctionnement sévère et d’une incohérence notoire. La seule et lucrative commission technique domaniale fonctionne sur fond de spéculation. Le Secrétaire municipal agissant pour son seul compte accentue les dérives du Maire. Les textes du Code des collectivités les plus élémentaires sont bafoués. La secrétaire du maire, demeure toujours avec son statut de conseillère municipale et ce malgré les maintes réclamations auprès du Représentant de l’Etat. Les litiges et conflits fonciers sont récurrents et les problèmes s’annoncent délicats en perspective ».
« Le cadastre établi confirme la vision de séparation en filigrane et ce avec la complicité de services départementaux ( Urbanisme et Cadastre) qui ont repris les plans de la commune et permis au Maire à lui tout seul de reconstituer illégalement et bizarrement le registre foncier ! Le futur Hôtel de ville en construction est en arrêt. Il est implanté sans délibération par la seule volonté du maire obéissant toujours dans une logique de séparation. La Tutelle affiche une passivité voire complicité embarrassante ! Les délégués de quartiers tâtonnent car ne sachant quoi faire. Les populations sont écartées du processus ».
Conséquences de toute cette situation : « La commune baigne dans l’insalubrité. Les bêtes divaguent et les moustiques prolifèrent. Les ordures infestent les rues. Les allées de belle route de contournement sont grignotées par une occupation foncière irrégulière. Les arbres décoratifs qui longent la voie meurent. Le littoral sauvagement occupé avec des résidences fermées la plupart du temps ou menacent de s’effondrer. La jeunesse est délaissée et ses activités non soutenues. Les élèves de l’école Armand Ndiaye toujours anxieux car étant sous la menace de délocalisation. Le nouveau lycée est en souffrance (manque de classe, absence de bloc administratif, mur de clôture inachevé… Le Comité de gestion est inopérant au niveau du centre de santé. Le virage sur la route principale constitue un réel danger (absence de signalisation)… ».
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