La génération actuelle des élèves s’exprimerait beaucoup mieux en anglais que la génération d’il y a 10 ans. En effet, le niveau de ces potaches semble connaitre une amélioration. Depuis quelques années, professeurs et enseignants dénoncent le faible niveau des élèves dans les différentes matières qu’ils étudient notamment en anglais où l’élève l’apprend pendant 7 ans sans pour autant pouvoir s’exprimer correctement Le président de l’Association des Professeurs d’Anglais du Sénégal (APAS), Moussa Diouf qui a pris part à un atelier de partage des meilleures pratiques de la classe ce samedi 27 novembre 2010, a expliqué que «c’est une question de procédure, de méthodologie, mais qui aujourd’hui est en train de connaitre un changement radical. Il y a une amélioration».
Monsieur Diouf est d’avis qu’ «il y a eu des progressions». Car, pour lui, à un moment, l’enseignement de l’anglais était basé sur uniquement l’acquisition de la grammaire et des règles grammaticales, voilà ce que l’on a vécu il y a 20 ans mais aujourd’hui nous voyons que l’apprentissage et l’enseignement de l’anglais sont basés sur les besoins communicatifs des apprenants. «Je trouve que les élèves d’aujourd’hui s’expriment beaucoup plus et beaucoup mieux en anglais que leurs ainés d’hier, il y a un changement qui est en train de s’opérer» a-t-il informé. Et d’ajouter: «un changement dans la mentalité des enseignants, des apprenants, dans la production du matériel didactique et les TIC sont là et ils viennent au secours de l’enseignement et de tous les enseignements».
Dans la même lancée, la conseillère technique en anglais au Ministère de l’éducation, Mme Ngouye Mbaye Sall qui a présidé la cérémonie d’ouverture de l’atelier de confirmer les dires du Président de l’APAS: «si vous regardez les élèves de maintenant et les élèves d’il y a 10 ans ou plus, les élèves de maintenant ont beaucoup plus de facilité de s’exprimer en anglais parce que le cours est centré sur l’élève, le cours prend en considération les besoins de l’élève aussi bien dans leur façon de communiquer que dans leur vie. Cela est important et c’est ce qui motive davantage les professeurs d’anglais» a-t-elle soutenu.
Le président de l’Association des Professeurs d’Anglais du Sénégal a, en outre, confié que «ce n’est plus le moment de dire que les élèves sont nuls. Nous devons ratisser large et essayer de voir l’idée que les élèves sont nuls c’est l’arbre qui cache la forêt». Il faut, dit-il, aller au devant des mauvais résultats qui peuvent avoir lieu quelque part et aller au-delà des mauvais résultats, quels en sont les causes et ne plus se contenter de dire que les enfants sont paresseux, ne veulent plus travailler.
Monsieur Diouf est d’avis qu’ «il y a eu des progressions». Car, pour lui, à un moment, l’enseignement de l’anglais était basé sur uniquement l’acquisition de la grammaire et des règles grammaticales, voilà ce que l’on a vécu il y a 20 ans mais aujourd’hui nous voyons que l’apprentissage et l’enseignement de l’anglais sont basés sur les besoins communicatifs des apprenants. «Je trouve que les élèves d’aujourd’hui s’expriment beaucoup plus et beaucoup mieux en anglais que leurs ainés d’hier, il y a un changement qui est en train de s’opérer» a-t-il informé. Et d’ajouter: «un changement dans la mentalité des enseignants, des apprenants, dans la production du matériel didactique et les TIC sont là et ils viennent au secours de l’enseignement et de tous les enseignements».
Dans la même lancée, la conseillère technique en anglais au Ministère de l’éducation, Mme Ngouye Mbaye Sall qui a présidé la cérémonie d’ouverture de l’atelier de confirmer les dires du Président de l’APAS: «si vous regardez les élèves de maintenant et les élèves d’il y a 10 ans ou plus, les élèves de maintenant ont beaucoup plus de facilité de s’exprimer en anglais parce que le cours est centré sur l’élève, le cours prend en considération les besoins de l’élève aussi bien dans leur façon de communiquer que dans leur vie. Cela est important et c’est ce qui motive davantage les professeurs d’anglais» a-t-elle soutenu.
Le président de l’Association des Professeurs d’Anglais du Sénégal a, en outre, confié que «ce n’est plus le moment de dire que les élèves sont nuls. Nous devons ratisser large et essayer de voir l’idée que les élèves sont nuls c’est l’arbre qui cache la forêt». Il faut, dit-il, aller au devant des mauvais résultats qui peuvent avoir lieu quelque part et aller au-delà des mauvais résultats, quels en sont les causes et ne plus se contenter de dire que les enfants sont paresseux, ne veulent plus travailler.
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