Le spectre des inondations est loin de connaître son épilogue si l’on se fie aux propos du premier ministre. « On ne peut pas trouver une solution à tout. Personne ne peut dire que nous sommes définitivement à l’abri des inondations », a laissé entendre le chef du gouvernement qui estime néanmoins que « ce qu’il faut faire c’est engager des programmes pour se mettre à l’abri des inondations récurrentes dues à des causes qui n’ont pas vraiment un caractère exceptionnel ».
Par ailleurs, à quelques encablures de l’hivernage qui ne finit pas de tarauder les esprits des populations de la banlieue, le discours du premier ministre ne semble pas rassurer. « On ne peut pas en une année, trouver des solutions à tout », avoue-t-il avant de faire savoir « nous serons en mesure, en une année, de remettre les clés de 2000 logements. Et avant fin juillet, nous remettrons déjà les clés de 400 logements dont les constructions ont démarré il y a moins de 2 mois ».
Si le discours du chef du gouvernement concernant les inondations ne convainc pas, celui sur les délestages laisse également les populations sur leur faim. Tout en rappelant que « le président de la République et son gouvernement ont hérité d’un réseau qui a plus de 30 ans, qui lâche à tout moment », Abdoul Mbaye indique qu’il faut 2 ou 3 ans pour construire et mettre en production une centrale de 150 MW. Toutefois, « la baisse des prix viendra avec le mix énergétique », dit-il.
Par ailleurs, à quelques encablures de l’hivernage qui ne finit pas de tarauder les esprits des populations de la banlieue, le discours du premier ministre ne semble pas rassurer. « On ne peut pas en une année, trouver des solutions à tout », avoue-t-il avant de faire savoir « nous serons en mesure, en une année, de remettre les clés de 2000 logements. Et avant fin juillet, nous remettrons déjà les clés de 400 logements dont les constructions ont démarré il y a moins de 2 mois ».
Si le discours du chef du gouvernement concernant les inondations ne convainc pas, celui sur les délestages laisse également les populations sur leur faim. Tout en rappelant que « le président de la République et son gouvernement ont hérité d’un réseau qui a plus de 30 ans, qui lâche à tout moment », Abdoul Mbaye indique qu’il faut 2 ou 3 ans pour construire et mettre en production une centrale de 150 MW. Toutefois, « la baisse des prix viendra avec le mix énergétique », dit-il.
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