«Il faut que les musulmans trouvent de nouvelles alternatives pour aider les personnes en difficulté », a soutenu le chargé de communication de RIS, M. Mouhamadou Barro. Pour lui, le système archaïque d’aide entraînant la honte de celui qui est aidé doit être abandonné au profit d’une méthode ou l’intéressé sera côtoyé et ses besoins réglés dans la plus grande discrétion. Il a expliqué que des actions sont entreprises pour concrétiser ce souhait. C’est dans ce cadre qu’un moulin a été offerte aux femmes de Ngaba, il ya de cela deux semaines. En plus, une mutuelle est créée pour faciliter les prêts aux frères et sœurs en difficultés de même qu’une ONG.
Pour le Secrétaire général de RIS, l’Etat doit suivre ces exemples de solidarité au lieu de faire des gaspillages. « L’Etat du Sénégal a fait des dépenses gabégiques et inutiles pour la célébration de la fête du cinquantenaire de l’indépendance et l’inauguration du monument de la renaissance au moment ou les populations traversent des difficultés sans égales», a critiqué Mansour Ndiaye.
Selon lui, l’association a abattu un travail en profondeur pour diagnostiquer ces maux qui gangrènent nos sociétés. En guise d’exemple il cite le village de Gouye Mbette dans la région de Louga où les populations boivent de l’eau salée et les zones où les élèves des écoles coraniques n’ont même pas de tables bancs pour suivre les cours.
Les membres de cette association sont venus de toutes les régions du pays. Une délégation de Mauritanie a même fait le déplacement pour la circonstance. RIS compte élargir ses œuvres de bonnes volontés et travailler selon les principes de solidarité de la religion musulmane.
Pour le Secrétaire général de RIS, l’Etat doit suivre ces exemples de solidarité au lieu de faire des gaspillages. « L’Etat du Sénégal a fait des dépenses gabégiques et inutiles pour la célébration de la fête du cinquantenaire de l’indépendance et l’inauguration du monument de la renaissance au moment ou les populations traversent des difficultés sans égales», a critiqué Mansour Ndiaye.
Selon lui, l’association a abattu un travail en profondeur pour diagnostiquer ces maux qui gangrènent nos sociétés. En guise d’exemple il cite le village de Gouye Mbette dans la région de Louga où les populations boivent de l’eau salée et les zones où les élèves des écoles coraniques n’ont même pas de tables bancs pour suivre les cours.
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