À Linguère (nord-est), une affaire de mœurs bouleverse la communauté éducative. Une jeune lycéenne de 20 ans, F.N., élève en classe de Seconde, a été arrêtée pour "interruption volontaire de grossesse." Après avoir découvert sa grossesse, la jeune femme a pris des mesures désespérées pour éviter que sa famille et son entourage ne découvrent son état.
Selon L'Observateur, la jeune lycéenne a décidé de recourir à des médicaments achetés via les réseaux sociaux pour avorter. Après avoir obtenu ces médicaments, elle les a consommés en toute discrétion dans sa chambre. Quelques heures plus tard, elle a commencé à saigner abondamment, mais n’a pas informé sa famille de sa situation critique. Finalement, elle a expulsé le fœtus de 15 semaines. Cependant, des complications sont survenues, l’obligeant à se rendre à l’hôpital en raison de terribles douleurs abdominales.
À l’hôpital, une sage-femme a découvert une partie du fœtus encore présente dans son ventre. Lors de son interrogation, F.N. n’a pu fournir des réponses convaincantes. C'est ainsi que la sage-femme comprenant que la jeune fille a avorté clandestinement a alerté les autorités locales. Ces derniers sont venus à l'hôpital et l'ont interrogé sur son lit d’hôpital. Consciente d'avoir été démasquée, elle a avoué la vérité : « J'ai été engrossée par mon petit ami. Ne voulant pas être la risée de mon entourage et de mes camarades de classe, j'ai décidé d'interrompre la grossesse. J'ai commandé des médicaments via les réseaux sociaux. »
Le petit ami de F.N., également arrêté pour complicité, a reconnu la paternité de la grossesse. Il a déclaré aux enquêteurs : « Je reconnais la paternité de la grossesse. F.N. et moi sortions ensemble. Quand elle m'a révélé qu'elle était enceinte, j'ai tout assumé. Je lui avais demandé de ne pas interrompre sa grossesse, mais je ne pouvais l'en empêcher. Effectivement, je savais qu'elle était en train de s'activer pour trouver des médicaments lui permettant de se débarrasser de sa grossesse. »
Après la conclusion de l'enquête préliminaire, le couple a été déféré mardi 21 mai, au Parquet de Louga.
Selon L'Observateur, la jeune lycéenne a décidé de recourir à des médicaments achetés via les réseaux sociaux pour avorter. Après avoir obtenu ces médicaments, elle les a consommés en toute discrétion dans sa chambre. Quelques heures plus tard, elle a commencé à saigner abondamment, mais n’a pas informé sa famille de sa situation critique. Finalement, elle a expulsé le fœtus de 15 semaines. Cependant, des complications sont survenues, l’obligeant à se rendre à l’hôpital en raison de terribles douleurs abdominales.
À l’hôpital, une sage-femme a découvert une partie du fœtus encore présente dans son ventre. Lors de son interrogation, F.N. n’a pu fournir des réponses convaincantes. C'est ainsi que la sage-femme comprenant que la jeune fille a avorté clandestinement a alerté les autorités locales. Ces derniers sont venus à l'hôpital et l'ont interrogé sur son lit d’hôpital. Consciente d'avoir été démasquée, elle a avoué la vérité : « J'ai été engrossée par mon petit ami. Ne voulant pas être la risée de mon entourage et de mes camarades de classe, j'ai décidé d'interrompre la grossesse. J'ai commandé des médicaments via les réseaux sociaux. »
Le petit ami de F.N., également arrêté pour complicité, a reconnu la paternité de la grossesse. Il a déclaré aux enquêteurs : « Je reconnais la paternité de la grossesse. F.N. et moi sortions ensemble. Quand elle m'a révélé qu'elle était enceinte, j'ai tout assumé. Je lui avais demandé de ne pas interrompre sa grossesse, mais je ne pouvais l'en empêcher. Effectivement, je savais qu'elle était en train de s'activer pour trouver des médicaments lui permettant de se débarrasser de sa grossesse. »
Après la conclusion de l'enquête préliminaire, le couple a été déféré mardi 21 mai, au Parquet de Louga.
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