Le président sénégalais a, ainsi, rappelé que le 19 mars 2011 des gens ont appelé à des rassemblements pour réclamer son départ. «Je constate juste que les personnes qui demandaient mon départ ont rassemblé à peine 3000 personnes alors que les manifestations de soutien organisée par mon parti a rassemblé plus de 100000 personnes. RFI a dit qu’ils étaient 20000. Soit. Mais même si on prend ce chiffre, le rapport de force est largement à mon avantage», a-t-il souligné.
Abdoulaye Wade a tenu à faire comprendre que «la différence avec la Tunisie ou l’Egypte, c’est que moi, je veux bien qu’il y ait des manifestations. Ici la démocratie est une réalité que les gens vivent tous les jours».
Le secrétaire général du parti au pouvoir a été interpellé sur l’usure du pouvoir. Il a automatiquement fait savoir qu’il ne croit pas à ça. «Je ne crois pas à l’usure du pouvoir ici. Je suis le seul président en perpétuel état de grâce. C’est un phénomène spécial lié à ma personnalité. C’est sans doute lié au fait que je ne suis pas un baratineur, je suis un homme d’action. Je me compare toujours à Keynes, mon maître en économie. On ne peut pas nier le rôle des personnalités dans l’histoire. Ce sont les hommes qui sont déterminants».
Abdoulaye Wade a tenu à faire comprendre que «la différence avec la Tunisie ou l’Egypte, c’est que moi, je veux bien qu’il y ait des manifestations. Ici la démocratie est une réalité que les gens vivent tous les jours».
Le secrétaire général du parti au pouvoir a été interpellé sur l’usure du pouvoir. Il a automatiquement fait savoir qu’il ne croit pas à ça. «Je ne crois pas à l’usure du pouvoir ici. Je suis le seul président en perpétuel état de grâce. C’est un phénomène spécial lié à ma personnalité. C’est sans doute lié au fait que je ne suis pas un baratineur, je suis un homme d’action. Je me compare toujours à Keynes, mon maître en économie. On ne peut pas nier le rôle des personnalités dans l’histoire. Ce sont les hommes qui sont déterminants».
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