Souleymane Jules Diop, a déclaré lors de l’émission Jury du Dimanche dont il était l’invité, que la décision de l’agence des Nations unies chargée de l’éducation, de la science et la culture (Unesco) d’ajouter le « Cëbbu Jën » au patrimoine immatériel de l’humanité augmente notre rayonnement.
« Depuis une semaine, des femmes asiatiques sont allées chercher les recettes du « Ceebu Jën » et sont en train de le préparer. C’est un rayonnement pour le Sénégal. Le fait que, à 7 siècles d’intervalle, le monde entier reconnaisse le génie culinaire d’une femme, Penda Mbaye, qui n’est plus et qui était sans doute une femme modeste de Saint-Louis et le fait qu’elle ait créé un plat qui a traversé les siècles. Nous sommes cités dans tous les magazines spécialisés, je trouve que, au plan symbolique ça doit être salué », a déclaré le représentant permanent du Sénégal à l’Unesco.
Poursuivant ses propos, il ajoute : « Un peuple vaut par sa richesse matérielle, mais la richesse matérielle s’efface. Un peuple vaut aussi par son génie, sa richesse immatérielle. Je suis fier d’être Sénégalais. Je trouve que nous avons des valeurs immatérielles à proposer au monde entier comme des modèles. Sur ces questions, nous pouvons laisser la politique politicienne de côté. Il y a des pays qui ont voulu inscrire le Cëbbu Jën à notre place et je me suis battu ».
Selon Souleymane Jules Diop, l’inscription de notre plat national au patrimoine culturel de l’humanité a fait l’affaire du tourisme sénégalais et des restaurants sénégalais situés à l’étranger.
Il a aussi noté son combat à s’opposer aux pays qui ont voulu inscrire le Cëbbu Jën à notre place. Selon lui l’inscription de notre plat national au patrimoine culturel de l’humanité a fait l’affaire du tourisme sénégalais.
« Depuis une semaine, des femmes asiatiques sont allées chercher les recettes du « Ceebu Jën » et sont en train de le préparer. C’est un rayonnement pour le Sénégal. Le fait que, à 7 siècles d’intervalle, le monde entier reconnaisse le génie culinaire d’une femme, Penda Mbaye, qui n’est plus et qui était sans doute une femme modeste de Saint-Louis et le fait qu’elle ait créé un plat qui a traversé les siècles. Nous sommes cités dans tous les magazines spécialisés, je trouve que, au plan symbolique ça doit être salué », a déclaré le représentant permanent du Sénégal à l’Unesco.
Poursuivant ses propos, il ajoute : « Un peuple vaut par sa richesse matérielle, mais la richesse matérielle s’efface. Un peuple vaut aussi par son génie, sa richesse immatérielle. Je suis fier d’être Sénégalais. Je trouve que nous avons des valeurs immatérielles à proposer au monde entier comme des modèles. Sur ces questions, nous pouvons laisser la politique politicienne de côté. Il y a des pays qui ont voulu inscrire le Cëbbu Jën à notre place et je me suis battu ».
Selon Souleymane Jules Diop, l’inscription de notre plat national au patrimoine culturel de l’humanité a fait l’affaire du tourisme sénégalais et des restaurants sénégalais situés à l’étranger.
Il a aussi noté son combat à s’opposer aux pays qui ont voulu inscrire le Cëbbu Jën à notre place. Selon lui l’inscription de notre plat national au patrimoine culturel de l’humanité a fait l’affaire du tourisme sénégalais.
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