L’Organisation des Services Géologiques Africains a tenu sa 11e Assemblée générale ce vendredi à Dakar. Une rencontre qui permet de faciliter la coopération entre les nations à travers l’Afrique pour identifier et mettre en œuvre des projets de production, de promotion et de publication des informations sur les ressources humaines, la capacité de construction des institutions et le transfert de technologie.
« Cette assemblée générale, c’est pour finaliser un certains nombres de projets que nous avons déjà entamés. Comment faire pour dynamiser un peu plus le secteur des mines et de géologie ? Surtout comment réaliser le partage des informations, voire comment établir le même niveau géologique au niveau d’Afrique de manière à atteindre les ressources de l’exploitation minières qui puissent profiter effectivement à la population », a souligné Dr Jean Marie Djimadonm Nambatingar, géologue de formation.
Pour l’actuel Directeur de Recherche et de Développement à la Société National des Mines du Tchad, « le secteur minier peut être générateur de beaucoup d’emplois dans le monde rural. Le secteur devra normalement profiter à la population. C’est aussi l’objectif partagé par les gouvernements, les présidents africains lors de la mise en place de la vision minière africaine. On s’est rendu compte que l’Afrique regorge d’énormes ressources minières et on voit une population dans la misère. Les objectifs, c’était d’harmoniser les politiques minières au niveau de l'Afrique ».
Franck Dickson Mujenie président de la commission Ressources Minières de l’Union Africaines, avoue que « l’Afrique est très riche en ressources naturelles, elle a toujours fait le commerce et la promotion de ses ressources sans en bénéficier, comme il se doit ».
Le plus important, dit-il, « c’est de savoir comment on peut transformer ces ressources pour le bénéfice de toute l’Afrique. Parce que, si tu ne connais pas ce que tu possèdes, tu ne peux pas en bénéficier ».
« Cette assemblée générale, c’est pour finaliser un certains nombres de projets que nous avons déjà entamés. Comment faire pour dynamiser un peu plus le secteur des mines et de géologie ? Surtout comment réaliser le partage des informations, voire comment établir le même niveau géologique au niveau d’Afrique de manière à atteindre les ressources de l’exploitation minières qui puissent profiter effectivement à la population », a souligné Dr Jean Marie Djimadonm Nambatingar, géologue de formation.
Pour l’actuel Directeur de Recherche et de Développement à la Société National des Mines du Tchad, « le secteur minier peut être générateur de beaucoup d’emplois dans le monde rural. Le secteur devra normalement profiter à la population. C’est aussi l’objectif partagé par les gouvernements, les présidents africains lors de la mise en place de la vision minière africaine. On s’est rendu compte que l’Afrique regorge d’énormes ressources minières et on voit une population dans la misère. Les objectifs, c’était d’harmoniser les politiques minières au niveau de l'Afrique ».
Franck Dickson Mujenie président de la commission Ressources Minières de l’Union Africaines, avoue que « l’Afrique est très riche en ressources naturelles, elle a toujours fait le commerce et la promotion de ses ressources sans en bénéficier, comme il se doit ».
Le plus important, dit-il, « c’est de savoir comment on peut transformer ces ressources pour le bénéfice de toute l’Afrique. Parce que, si tu ne connais pas ce que tu possèdes, tu ne peux pas en bénéficier ».
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