"Aucun pays ne peut se développer dans ce monde sans l’utilisation à bonne échéance de la statistique". C'est du moins la conviction des Acteurs de L'École Nationale Supérieure de Statistique et d’Économie Appliquée (ENSEA), selon qui, "les statistiques constituent l’existant".
Les ENSEA ont procédé à la célébration de la 8e édition des journées d’intégrations, ce samedi à Dakar. Plus de 12 nationalités d’étudiants africains ont pris part à cette rencontre développée sur le thème : « La diversité culturelle ». Selon ces étudiants, cette journée est une richesse que l’Afrique doit consolider pour hisser son niveau de développement.
Le directeur général de l’ENSEA, Abdou Diouf d'avancer : « Pour tout africain, et directeur d’établissement de ce genre, c’est une grande fierté de découvrir l’ensemble de diversité qui constitue cette université. Mais également de pouvoir s’enrichir et de savoir que nos étudiants s’enrichissent mutuellement. Pour initier au développement, il faut une réflexion en amont, qui a forcément une référence qui se sonde sur l’existant ».
Pour lui, « ce sont les statistiques qui arrivent à constituer l’existant. Ils nous donnent la situation politique du développement qui est envisagée. De ce point de vu, la statistique est fondamentale. Parce qu'étant d’abord au début de la réflexion sur les politiques de développement, mais également, ce sont les statistiques qui accompagnent à travers le suivi de la mise en œuvre de l’ensemble des politiques de développement », livre Sud fm.
Les ENSEA ont procédé à la célébration de la 8e édition des journées d’intégrations, ce samedi à Dakar. Plus de 12 nationalités d’étudiants africains ont pris part à cette rencontre développée sur le thème : « La diversité culturelle ». Selon ces étudiants, cette journée est une richesse que l’Afrique doit consolider pour hisser son niveau de développement.
Le directeur général de l’ENSEA, Abdou Diouf d'avancer : « Pour tout africain, et directeur d’établissement de ce genre, c’est une grande fierté de découvrir l’ensemble de diversité qui constitue cette université. Mais également de pouvoir s’enrichir et de savoir que nos étudiants s’enrichissent mutuellement. Pour initier au développement, il faut une réflexion en amont, qui a forcément une référence qui se sonde sur l’existant ».
Pour lui, « ce sont les statistiques qui arrivent à constituer l’existant. Ils nous donnent la situation politique du développement qui est envisagée. De ce point de vu, la statistique est fondamentale. Parce qu'étant d’abord au début de la réflexion sur les politiques de développement, mais également, ce sont les statistiques qui accompagnent à travers le suivi de la mise en œuvre de l’ensemble des politiques de développement », livre Sud fm.
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