L’arène a encore renoué avec la violence, lors du combat qui devait opposer Papa Sow à Siteu. Ficelé depuis 2019 et renvoyé à plusieurs reprises à cause de la Covid-19, ce combat était à quelques minutes de livrer son vainqueur, avant qu’un batteur de Siteu ne lance un tam-tam sur la tête de Papa Sow, lui causant une blessure ouverte. Une partie de son visage ensanglanté. Obligeant l’arbitre à déclarer le combat sans verdict.
Les médecins ont annulé le combat à cause de la blessure du chef de fil de l’écurie Jambar Wrestling Academy. C’est entre tristesse et colère que les férus de la lutte avec frappe ont quitté les gradins de l’arène nationale. Une arène qui flirte depuis quelques temps avec la barbarie, poussant le Cng (Comité national de la gestion de lutte) à sortir un communiqué pour avertir. Mais ils en ont cure, la violence a encore dicté sa loi.
Selon le premier vice-président du Cng, chargé de la lutte avec frappe, « il y a du travail à faire, cette affaire nous interpelle et c’est l’occasion de sensibiliser davantage les gens, de les responsabiliser. Il faut que chacun assume pleinement ses responsabilités. Ce gala, on l’attendait des années, il pouvait se terminer en beauté, mais de cette façon. Surtout que le promoteur a pris toutes les dispositions sécuritaires et organisationnelles. Malheureusement, nous constatons tous ce qui s’est passé. Nous le déplorons. Ça montre que nous ne sommes pas encore sortis de l’auberge », a dit Meissa Ndiaye.
Le promoteur de lutte, Pape Abdou Fall est déçu et demande au Cng de prendre ses responsabilités. « C’est une déception totale. On prépare ce combat depuis plus de deux ans et on pensait en finir aujourd’hui. Je ne m’attendais pas à ça. Le dernier mot revient au Cng. Qu’ils prennent leur responsabilité », a fustigé l’organisateur du combat de lutte.
Dès l’annulation du combat, une série d’agressions s’est déclenchée aux alentours de l’Arène nationale. Selon « L’Observateur », 54 individus ont été interpellés, 42 motos immobilisées et des armes blanches saisies.
Les médecins ont annulé le combat à cause de la blessure du chef de fil de l’écurie Jambar Wrestling Academy. C’est entre tristesse et colère que les férus de la lutte avec frappe ont quitté les gradins de l’arène nationale. Une arène qui flirte depuis quelques temps avec la barbarie, poussant le Cng (Comité national de la gestion de lutte) à sortir un communiqué pour avertir. Mais ils en ont cure, la violence a encore dicté sa loi.
Selon le premier vice-président du Cng, chargé de la lutte avec frappe, « il y a du travail à faire, cette affaire nous interpelle et c’est l’occasion de sensibiliser davantage les gens, de les responsabiliser. Il faut que chacun assume pleinement ses responsabilités. Ce gala, on l’attendait des années, il pouvait se terminer en beauté, mais de cette façon. Surtout que le promoteur a pris toutes les dispositions sécuritaires et organisationnelles. Malheureusement, nous constatons tous ce qui s’est passé. Nous le déplorons. Ça montre que nous ne sommes pas encore sortis de l’auberge », a dit Meissa Ndiaye.
Le promoteur de lutte, Pape Abdou Fall est déçu et demande au Cng de prendre ses responsabilités. « C’est une déception totale. On prépare ce combat depuis plus de deux ans et on pensait en finir aujourd’hui. Je ne m’attendais pas à ça. Le dernier mot revient au Cng. Qu’ils prennent leur responsabilité », a fustigé l’organisateur du combat de lutte.
Dès l’annulation du combat, une série d’agressions s’est déclenchée aux alentours de l’Arène nationale. Selon « L’Observateur », 54 individus ont été interpellés, 42 motos immobilisées et des armes blanches saisies.
Autres articles
-
Real Madrid : l’inquiétante descente aux enfers d’Endrick écarté du Brésil
-
Ligue 1 : Lyon revient in extremis au score et empêche Lille de s’offrir la 2e place
-
OL : Malick Fofana a encore scotché tout le monde
-
Tournoi UFOA U17 : le Mali s’impose devant la Gambie et retrouve le Sénégal en finale
-
Tournoi UFOA U17 : le Sénégal bat la Guinée-Bissau et décroche une place en finale et à la CAN