Dr I. Hamadoun Touré, par ailleurs directeur exécutif de Smart Africa a, dans son analyse, soutenu que «tous les Etats Africains sont très conscients des Technologies de la Communication et de l’Information pour le développement. Cet outil peut être important pour développer tout autre secteur de l’économie, que ce soit l’agriculture, la santé, l’éducation, l’économie en générale».
«L’idée de créer Smart Africa est une réalité. Nous sommes sûrs que si nous utilisons les TIC, nous pouvons atteindre les objectifs du développement durable», a-t-il assuré.
Selon lui, «la stratégie est très simple. Chaque pays devrait pour cela, se porter pilote d’un projet phare de développement. Que ce soit l’économie verte, la création d’emploi, les systèmes d’énergie Smart, les systèmes de transport Smart, c’est cela que chaque pays doit avoir un projet pour pouvoir partager avec les autres continents. Nous avons une stratégie, un plan qui nous permet de nous développer. Avec l’engagement de nos chefs d’Etat, nous pouvons nous développer».
Le secrétaire d’Etat Secrétaire d’Etat au PUDC, venu représenter le Premier ministre, est revenu sur la place des télécommunications. «Aucune réforme ne peut se faire sans l’apport des télécommunications. Dans la ré-ingénierie des processus administratifs, dans tout ce qui est amélioration de l’efficacité de l’administration publique, donc du service au publique, dans tout ce qui est amélioration de l’environnement des affaires, rendre notre pays économiquement plus incitatif, il faut l’implication des télécommunications pour l’automatisation de certains statuts. Mais aussi, la collaboration de certains services dans la création des services sociaux destinés aux citoyens», a fait savoir Souleymane Jules Diop.
Selon lui, «la plus grande des pertes, c’est celle de temps. Et le temps, c’est quelque chose qu’on ne récupère pas» car dira-t-il: «On peut récupérer un bien, on peut récupérer du matériel, on peut faire une maison et la regagner, mais pas le temps. Tout ce que nous faisons dans les efforts en matière de développement technologique, c’est pour aller plus vite en réalité dans l’espace et dans le temps. Et pour cela, il faut évidement que la base soit là. Ce qu’on appelle nous Sénégalais à être là à temps. Les télécommunications regorgent de nos plus valeureux ressources humaines surtout en matière d’ingénierie. Et c’est pourquoi, c’est un secteur dont le Sénégal est leader en Afrique».
Le ministre d'Etat de souligner qu’«il y a des enjeux pour les populations, des enjeux pour la sécurité du pays, des enjeux économiques, des enjeux sociaux. Mêmes nos programmes de santé économique, la couverture médicale universelle, le projet du président de la République, d’apporter un soin médicale à chaque Sénégalais, peuvent se faire grâce aux technologies de l’information, les téléconférences, les télé-services, de permettre à un médecin d’opérer à distance».
Le Directeur général de l’ARTP, Abdou Karim Sall a, pour sa part, rappelé que le Smath Africa, dont le Docteur Amadoun Touré est le directeur exécutif, a entre autres, comme mission, de développer les technologies de l’information et de la communication en Afrique de manière générale. Et le Sénégal est l’un des pays membre du "Africa" à côté de la Côte d’Ivoire, de la Guinée, du Mali, du Bourkina Fasso ».
«L’idée de créer Smart Africa est une réalité. Nous sommes sûrs que si nous utilisons les TIC, nous pouvons atteindre les objectifs du développement durable», a-t-il assuré.
Selon lui, «la stratégie est très simple. Chaque pays devrait pour cela, se porter pilote d’un projet phare de développement. Que ce soit l’économie verte, la création d’emploi, les systèmes d’énergie Smart, les systèmes de transport Smart, c’est cela que chaque pays doit avoir un projet pour pouvoir partager avec les autres continents. Nous avons une stratégie, un plan qui nous permet de nous développer. Avec l’engagement de nos chefs d’Etat, nous pouvons nous développer».
Le secrétaire d’Etat Secrétaire d’Etat au PUDC, venu représenter le Premier ministre, est revenu sur la place des télécommunications. «Aucune réforme ne peut se faire sans l’apport des télécommunications. Dans la ré-ingénierie des processus administratifs, dans tout ce qui est amélioration de l’efficacité de l’administration publique, donc du service au publique, dans tout ce qui est amélioration de l’environnement des affaires, rendre notre pays économiquement plus incitatif, il faut l’implication des télécommunications pour l’automatisation de certains statuts. Mais aussi, la collaboration de certains services dans la création des services sociaux destinés aux citoyens», a fait savoir Souleymane Jules Diop.
Selon lui, «la plus grande des pertes, c’est celle de temps. Et le temps, c’est quelque chose qu’on ne récupère pas» car dira-t-il: «On peut récupérer un bien, on peut récupérer du matériel, on peut faire une maison et la regagner, mais pas le temps. Tout ce que nous faisons dans les efforts en matière de développement technologique, c’est pour aller plus vite en réalité dans l’espace et dans le temps. Et pour cela, il faut évidement que la base soit là. Ce qu’on appelle nous Sénégalais à être là à temps. Les télécommunications regorgent de nos plus valeureux ressources humaines surtout en matière d’ingénierie. Et c’est pourquoi, c’est un secteur dont le Sénégal est leader en Afrique».
Le ministre d'Etat de souligner qu’«il y a des enjeux pour les populations, des enjeux pour la sécurité du pays, des enjeux économiques, des enjeux sociaux. Mêmes nos programmes de santé économique, la couverture médicale universelle, le projet du président de la République, d’apporter un soin médicale à chaque Sénégalais, peuvent se faire grâce aux technologies de l’information, les téléconférences, les télé-services, de permettre à un médecin d’opérer à distance».
Le Directeur général de l’ARTP, Abdou Karim Sall a, pour sa part, rappelé que le Smath Africa, dont le Docteur Amadoun Touré est le directeur exécutif, a entre autres, comme mission, de développer les technologies de l’information et de la communication en Afrique de manière générale. Et le Sénégal est l’un des pays membre du "Africa" à côté de la Côte d’Ivoire, de la Guinée, du Mali, du Bourkina Fasso ».
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