La classe politique n'arrive toujours pas à s'entendre sur la date de la tenue des élections locales, à l'issue de la rencontre ce jeudi du comité restreint. Selon la majorité, l'opposition avait une position de principe, qui ne tient compte ni de l'avis des experts internationaux, ni les partis engagés dans cette commission pour trouver un consensus. Elle soutient que s’ils ne trouvent pas de date pour les prochaines élections, le gouvernement devra comme la loi le lui permet, décider. L’opposition qui veut tenir les élections en 2021, propose à ce que les résultats de l’évaluation puissent être reportés pour s’appliquer sur les prochaines élections général à venir.
« Dans le cadre de la mise en n'œuvre du dialogue politique le gouvernement sur la base des différentes propositions qui lui sont revenues, avait proposé une loi de report des élections locales qui fixe la date au plus tard le 31 janvier 2022. C'est-à-dire qu'au niveau du sous-comité, mis en place, il n'y avait pas eu de consensus sur les propositions d'agendas et de dates. Mais une piste avait été envisagée. Malheureusement, ces belles propositions ont été totalement balayées par l'opposition qui est venue avec un nouvel agenda. Dans la nouvelle proposition de l'opposition, ils font fit de l'avis des experts internationaux qui sont les évaluateurs, et les techniciens de la direction générale des élections. Et ils veulent imposer un agenda dans lequel ils superposent les opérations électorales », a indiqué Benoît Sambou, coordinateur du pôle de la majorité au dialogue politique.
Selon lui, l’opposition veut qu'on ne tienne pas compte des conclusions de l'évaluation qui devaient permettre de régler les problématiques, de caution, de bulletin unique, de modalité d'inscription, mais surtout de parrainage. « Nous avons compris que l'opposition avait une position de principe, qui ne tient pas compte ni de l'avis des experts internationaux, ni de tous les partis engagés dans cette commission pour trouver un consensus. Il va s'en dire que nous n'avons pas trouvé de date pour les prochaines élections, le gouvernement devra comme la loi le lui permet, le prescrit de décider de la date des prochaines élections », dit-il.
Quant à l’opposition, elle soutient que ce qui est constant dans ces discussions, est que véritablement la majorité n’a jamais fait des propositions techniques. Mais elle a toujours campé sur sa position. « Nous avons proposé que les résultats de l’évaluation puissent être reportés pour s’appliquer sur les prochaines élections général à venir. Nous avons également demandé à ce que la durée de la revue du code électoral soit revue à la baisse, et que cette opération-là puisse se faire de façon simultanée avec la révision des listes électorales. Ce qui est constant dans ces discussions, c’est que véritablement la majorité n’a jamais fait des propositions techniques comme nous l’avons fait. Mais elle a toujours campé sur sa position. La conséquence, aujourd’hui, est qu’il y a un désaccord sur la fixation de la date des élections. Ce qui défit la capacité de la classe politique à trouver des consensus sur des questions majeures. S’il y a un acteur qui ne veut pas la tenue des élections, il faut le chercher dans le camp du pouvoir », a soutenu Aldjouma Sow, chargé des élections du Pastef/Les Patriotes plénipotentiaire de l’opposition à la commission du dialogue politique, à l'issue de la rencontre ce jeudi.
« Dans le cadre de la mise en n'œuvre du dialogue politique le gouvernement sur la base des différentes propositions qui lui sont revenues, avait proposé une loi de report des élections locales qui fixe la date au plus tard le 31 janvier 2022. C'est-à-dire qu'au niveau du sous-comité, mis en place, il n'y avait pas eu de consensus sur les propositions d'agendas et de dates. Mais une piste avait été envisagée. Malheureusement, ces belles propositions ont été totalement balayées par l'opposition qui est venue avec un nouvel agenda. Dans la nouvelle proposition de l'opposition, ils font fit de l'avis des experts internationaux qui sont les évaluateurs, et les techniciens de la direction générale des élections. Et ils veulent imposer un agenda dans lequel ils superposent les opérations électorales », a indiqué Benoît Sambou, coordinateur du pôle de la majorité au dialogue politique.
Selon lui, l’opposition veut qu'on ne tienne pas compte des conclusions de l'évaluation qui devaient permettre de régler les problématiques, de caution, de bulletin unique, de modalité d'inscription, mais surtout de parrainage. « Nous avons compris que l'opposition avait une position de principe, qui ne tient pas compte ni de l'avis des experts internationaux, ni de tous les partis engagés dans cette commission pour trouver un consensus. Il va s'en dire que nous n'avons pas trouvé de date pour les prochaines élections, le gouvernement devra comme la loi le lui permet, le prescrit de décider de la date des prochaines élections », dit-il.
Quant à l’opposition, elle soutient que ce qui est constant dans ces discussions, est que véritablement la majorité n’a jamais fait des propositions techniques. Mais elle a toujours campé sur sa position. « Nous avons proposé que les résultats de l’évaluation puissent être reportés pour s’appliquer sur les prochaines élections général à venir. Nous avons également demandé à ce que la durée de la revue du code électoral soit revue à la baisse, et que cette opération-là puisse se faire de façon simultanée avec la révision des listes électorales. Ce qui est constant dans ces discussions, c’est que véritablement la majorité n’a jamais fait des propositions techniques comme nous l’avons fait. Mais elle a toujours campé sur sa position. La conséquence, aujourd’hui, est qu’il y a un désaccord sur la fixation de la date des élections. Ce qui défit la capacité de la classe politique à trouver des consensus sur des questions majeures. S’il y a un acteur qui ne veut pas la tenue des élections, il faut le chercher dans le camp du pouvoir », a soutenu Aldjouma Sow, chargé des élections du Pastef/Les Patriotes plénipotentiaire de l’opposition à la commission du dialogue politique, à l'issue de la rencontre ce jeudi.
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