La réaction du professeur Bouba Diop n’a pas tardé suite à la sortie du ministre de l’enseignement supérieur qui a révélé que ‘’sur 298 universités privées, au moins 100 ne sont pas en conformité avec la législation’’. L'ancien médiateur de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad) soutient que cette situation est due à ‘’une mauvaise gestion du secteur par les différents régimes, mais aussi d’un manque de suivi’’. Il prône à cet effet des concertations entre acteurs et autorités.
« C'est ce que j'appelle la mauvaise gouvernance. Parce que chaque année, on doit avoir ces informations. Donc c'est tout le bilan de tous les régimes qui se sont succédé y a des défaillances. Il n'y pas un suivi permanent. Sinon ces défaillances ne peuvent pas exister », a décrié le professeur Bouba Diop.
Par ailleurs, souligne l'ancien médiateur de l'Ucad au micro d'iRadio : « Les défaillances proviennent d'un manque de suivi des activités au sein de l'enseignement supérieur. Il y a eu beaucoup de réflexions sur les cartes universitaires. D'ailleurs, ça se les universités. Il y a eu les débats sur les langues, les débats sur beaucoup de questions. Il y a eu des conclusions pertinentes qui ont été faites par les Sénégalais. La question des suivis, le débat sur le monitoring, même le benchmarking, ce sont ceux qui font les meilleurs résultats. Tout ça, c’est des pratiques ».
Comme piste de solution, le fondateur du Syndicat Autonome des Enseignants du Sénégal (Saes) préconise une concertation entre les acteurs de ce secteur et les autorités compétentes. « Je pense que les structures qu'en soient les syndicats, les autorités publiques, le secteur privé, doivent s'entendre pour discuter de ce problème de fond. Dans un pays, il faut créer les conditions d'un dialogue permenant pas seulement ponctuel quand il y a des crises. C'est ça qui permettra de sortir de ces situations-là », dit-il.
« C'est ce que j'appelle la mauvaise gouvernance. Parce que chaque année, on doit avoir ces informations. Donc c'est tout le bilan de tous les régimes qui se sont succédé y a des défaillances. Il n'y pas un suivi permanent. Sinon ces défaillances ne peuvent pas exister », a décrié le professeur Bouba Diop.
Par ailleurs, souligne l'ancien médiateur de l'Ucad au micro d'iRadio : « Les défaillances proviennent d'un manque de suivi des activités au sein de l'enseignement supérieur. Il y a eu beaucoup de réflexions sur les cartes universitaires. D'ailleurs, ça se les universités. Il y a eu les débats sur les langues, les débats sur beaucoup de questions. Il y a eu des conclusions pertinentes qui ont été faites par les Sénégalais. La question des suivis, le débat sur le monitoring, même le benchmarking, ce sont ceux qui font les meilleurs résultats. Tout ça, c’est des pratiques ».
Comme piste de solution, le fondateur du Syndicat Autonome des Enseignants du Sénégal (Saes) préconise une concertation entre les acteurs de ce secteur et les autorités compétentes. « Je pense que les structures qu'en soient les syndicats, les autorités publiques, le secteur privé, doivent s'entendre pour discuter de ce problème de fond. Dans un pays, il faut créer les conditions d'un dialogue permenant pas seulement ponctuel quand il y a des crises. C'est ça qui permettra de sortir de ces situations-là », dit-il.
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