Après les fuites aconstatées sur certaines épreuves du Baccalauréat 2017, certains parents d’élèves préoccupés par la situation ont fait le déplacement pour assister à la conférence de presse tenue par le Directeur de l'Office du Bac, Babou Diakham.
«En raison de la rupture d’égalité que cette situation induit, en raison de la forte suspicion de favoritisme qu’elle suscite, en raison du favoritisme qui semble la justifier, en raison du bénéfice illicite qu’en tirent probablement ceux qui l’ont créée, une telle situation est inadmissible et injustifiable. Personne ne doit en tirer profit. Il importe, donc tout d’abord et à titre conservatoire, d’annuler l’épreuve dès confirmation de la fuite et de la reprogrammer avec un autre sujet, un autre jour. C’est ce que nous avons fait en rapport avec nos autorités », a expliqué Babou Diakham ce matin au siège du ministère de l’Enseignement supérieur.
Selon lui, les responsabilités vont être situées par une enquête administrative et judiciaire. Mais, prévient-il, «les fuites font partie des risque dans l’organisation des évaluations. C’est ce qui explique toutes les garanties autour du choix des sujets. Nous tenons à rassurer nos enfants, les parents que tout sera mis en œuvre pour que ce baccalauréat se poursuive et se termine dans les meilleurs conditions ».
Interpellé sur le sujet, Dame Seck, Secrétaire général de la fédération nationale de l’association des parents d’élèves et étudiants du Sénégal propose que toutes les épreuves soient reprises. «Si la réglementation nous propose la reprise des épreuves c’est bon. Mais notre souhait le plus profond est qu’on reprenne tout, pour qu’il n’y ait pas de doute ni de présomption. Et là, nos futurs étudiants seront des gens qui auront réussi à partir de leur mérite », dit-il.
«En raison de la rupture d’égalité que cette situation induit, en raison de la forte suspicion de favoritisme qu’elle suscite, en raison du favoritisme qui semble la justifier, en raison du bénéfice illicite qu’en tirent probablement ceux qui l’ont créée, une telle situation est inadmissible et injustifiable. Personne ne doit en tirer profit. Il importe, donc tout d’abord et à titre conservatoire, d’annuler l’épreuve dès confirmation de la fuite et de la reprogrammer avec un autre sujet, un autre jour. C’est ce que nous avons fait en rapport avec nos autorités », a expliqué Babou Diakham ce matin au siège du ministère de l’Enseignement supérieur.
Selon lui, les responsabilités vont être situées par une enquête administrative et judiciaire. Mais, prévient-il, «les fuites font partie des risque dans l’organisation des évaluations. C’est ce qui explique toutes les garanties autour du choix des sujets. Nous tenons à rassurer nos enfants, les parents que tout sera mis en œuvre pour que ce baccalauréat se poursuive et se termine dans les meilleurs conditions ».
Interpellé sur le sujet, Dame Seck, Secrétaire général de la fédération nationale de l’association des parents d’élèves et étudiants du Sénégal propose que toutes les épreuves soient reprises. «Si la réglementation nous propose la reprise des épreuves c’est bon. Mais notre souhait le plus profond est qu’on reprenne tout, pour qu’il n’y ait pas de doute ni de présomption. Et là, nos futurs étudiants seront des gens qui auront réussi à partir de leur mérite », dit-il.
Dame Seck, Secrétaire général de la fédération national de l’association des parents d’élèves et étudiants du Sénégal
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