« Nous préférons plutôt mourir que d’abandonner. À moins que nous obtenions gain de cause. Mieux vaut mourir que d’abandonner ce combat ». C’est le cri alarmant des sortants de l’Institut National Supérieurs de l’Éducation Populaire et du Sport (INSEPS) qui ont entamé une grève de la faim depuis le 3 octobre. Deux (2) d’entre eux ont été évacués à l’hôpital.
Mamadou Marone, le Coordinateur du collectif explique : «nous avons entamé cette grève depuis le mercredi. Nous n’allons pas caillasser comme nous l’avions toujours fait. Notre démarche est pacifique. Nous ne voulons pas porter atteinte aux innocents. Nous n’allons pas barrer des routes ».
M. Marone au micro de Walf radio de confirmer : « Deux (2) de nos camarades ont été évacués au niveau de l’infirmerie de l’INSEPS. Nous sommes dans ce cas critique. Nos camarades restants, ne peuvent plus se tenir debout. Ils ne peuvent plus tenir le coup. Et nous rappelons ces autorités que si c’était leurs filles, leurs fils qui étaient là, couchés ici, depuis deux jours sans manger ni boire, ils allaient être là. Donc c’est leur responsabilité qui est engagée ».
Et de conclure : «Nous prenons à témoin l’opinion nationale et internationale. Nous sommes les citoyens de ce pays. Ils nous regardent mourir de faim. Alors que nous ne réclamons que ce qui nous revient de droit. Nous avions fait notre formation, ils ne peuvent pas nous promettre pendant trois (3) ans et nous jeter dans les rues alors que nous voyons là où nous pouvons travailler. C’est inadmissible ».
Mamadou Marone, le Coordinateur du collectif explique : «nous avons entamé cette grève depuis le mercredi. Nous n’allons pas caillasser comme nous l’avions toujours fait. Notre démarche est pacifique. Nous ne voulons pas porter atteinte aux innocents. Nous n’allons pas barrer des routes ».
M. Marone au micro de Walf radio de confirmer : « Deux (2) de nos camarades ont été évacués au niveau de l’infirmerie de l’INSEPS. Nous sommes dans ce cas critique. Nos camarades restants, ne peuvent plus se tenir debout. Ils ne peuvent plus tenir le coup. Et nous rappelons ces autorités que si c’était leurs filles, leurs fils qui étaient là, couchés ici, depuis deux jours sans manger ni boire, ils allaient être là. Donc c’est leur responsabilité qui est engagée ».
Et de conclure : «Nous prenons à témoin l’opinion nationale et internationale. Nous sommes les citoyens de ce pays. Ils nous regardent mourir de faim. Alors que nous ne réclamons que ce qui nous revient de droit. Nous avions fait notre formation, ils ne peuvent pas nous promettre pendant trois (3) ans et nous jeter dans les rues alors que nous voyons là où nous pouvons travailler. C’est inadmissible ».
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