Le Directeur, général de la SONES, Charles Fall était, ce mardi à Fatick, pour visiter le projet de renforcement de la production en eau potable. Il a précisé que ce projet entre dans le cadre d’un programme beaucoup plus large. Le coût de cette station intégrant le renforcement de la production est de l’ordre d’un milliard six cent millions (1 600 000 000) de F CFA. Une production qui va toucher un peu moins de cinquante mille (50 000) habitants, à savoir toutes les populations vivant dans la commune de Fatick.
«Nous avons doublé la production de la ville de Fatick, qui était à un peu moyen de 100 m3. Nous l’avons amenée à 250 m3/h. Nous avons une station aujourd’hui qui nous permet de traiter toute la production de Fatick. Et dans la conception nous avons fait des réservations qui permettent d’anticiper. Le coût de cette station intégrant le renforcement de la production est de l’ordre d’un milliard six cent millions (1 600 000 000) de F CFA. Cette production va toucher un peu moins de cinquante mille (50 000) habitants. à savoir toutes les populations vivant dans la commune de Fatick », précise le Dg de la SONES».
Mr Fall de poursuivre : « ce projet entre dans le cadre d’un programme beaucoup plus large. Il est composé de plusieurs volets notamment la production et du stockage. Nous avons aujourd’hui finalisé tout ce qui a été renforcé de la production. Avant d’améliorer la qualité, il faut assurer la disponibilité de l’eau en quantité d’abord. Ce qui nous a permis de doubler la capacité de production ».
Et de préciser : « Les eaux de Fatick nous proviennent des sous-sols dont le caractère hydrogéologique montre une très forte présence en fluore, mais surtout en sel. Pour enlever les teneurs qui dépassent les normes de l’OMS, nous avons construit une station, ou une usine qui nous permettra d’être aux normes par rapport à toutes ces variables. Elle se manifeste par la couleur des dents des populations. Les dents ont certaines couleurs rougeâtres ou jaunâtres. Aussi, elle engendre certaines maladies ».
A l'en croire, « tous ces problèmes seront derrière nous. Nous sommes à un niveau d’avancement assez satisfaisant. D’ici, la fin de l’année la mise en service sera effective. Au bénéfice des populations ».
«Nous avons doublé la production de la ville de Fatick, qui était à un peu moyen de 100 m3. Nous l’avons amenée à 250 m3/h. Nous avons une station aujourd’hui qui nous permet de traiter toute la production de Fatick. Et dans la conception nous avons fait des réservations qui permettent d’anticiper. Le coût de cette station intégrant le renforcement de la production est de l’ordre d’un milliard six cent millions (1 600 000 000) de F CFA. Cette production va toucher un peu moins de cinquante mille (50 000) habitants. à savoir toutes les populations vivant dans la commune de Fatick », précise le Dg de la SONES».
Mr Fall de poursuivre : « ce projet entre dans le cadre d’un programme beaucoup plus large. Il est composé de plusieurs volets notamment la production et du stockage. Nous avons aujourd’hui finalisé tout ce qui a été renforcé de la production. Avant d’améliorer la qualité, il faut assurer la disponibilité de l’eau en quantité d’abord. Ce qui nous a permis de doubler la capacité de production ».
Et de préciser : « Les eaux de Fatick nous proviennent des sous-sols dont le caractère hydrogéologique montre une très forte présence en fluore, mais surtout en sel. Pour enlever les teneurs qui dépassent les normes de l’OMS, nous avons construit une station, ou une usine qui nous permettra d’être aux normes par rapport à toutes ces variables. Elle se manifeste par la couleur des dents des populations. Les dents ont certaines couleurs rougeâtres ou jaunâtres. Aussi, elle engendre certaines maladies ».
A l'en croire, « tous ces problèmes seront derrière nous. Nous sommes à un niveau d’avancement assez satisfaisant. D’ici, la fin de l’année la mise en service sera effective. Au bénéfice des populations ».
Autres articles
-
Alioune Tine aux candidats : "Entre acteurs politiques, les adversaires ne sont pas des ennemis à abattre"
-
Insertion professionnelle des jeunes : le Sénégal veut former 700 000 jeunes d’ici 2029
-
Législatives au Sénégal : le Haut-Commissariat des Nations Unies déploie 50 observateurs
-
Diabète : taux de mortalité chez les enfants passe de 2,9 % en 2016 à environ 6,7 % en 2024
-
Migration irrégulière : la gendarmerie déjoue une nouvelle embarcation à Niafran, plus d'une centaine de jeunes interpellés