La Coalition Nationale pour la Santé et l’Action Sociale (COSAS), en partenariat avec le Centre de Recherche Ouest Africain (WARC) ont organisé, mercredi, à Dakar, un panel de dialogue, d’information et de partage sur le rôle et la place de la médecine traditionnelle dans les enjeux sanitaires.
Les différents panélistes ont eu à échanger de la problématique de la médecine traditionnelle au Sénégal en identifiant ces forces, les faiblesses, les menaces et les opportunités et proposer des solutions pratiques et applicables.
Selon Aliou Aw, membre du Comité directeur de la coalition pour la Santé et l’action sociale, «du point de vu juridique, du point de vu de mis en place de cadre, nous somme en retard. Parce qu’on n’a pas encore de loi, bien que le projet vienne d’être adopté par le conseil de ministre. On pensé même qu’avec la législature, la loi allait être voté, mais malheureusement, il y a eu un retard à ce niveau ».
Pour lui, « Aujourd’hui, cette médecine est un sujet d’actualité et un enjeu de développement. c’est le premier recours en termes de soin dans la région africaine de l’Ouest de 80%. Pour nous, la médecine traditionnelle, si elle est impliquée comme elle se doit, au regard de ces enjeux (économique, de santé publique, socioculturel), nous pensons qu’elle pourra contribuer à la demande des populations ».
Les différents panélistes ont eu à échanger de la problématique de la médecine traditionnelle au Sénégal en identifiant ces forces, les faiblesses, les menaces et les opportunités et proposer des solutions pratiques et applicables.
Selon Aliou Aw, membre du Comité directeur de la coalition pour la Santé et l’action sociale, «du point de vu juridique, du point de vu de mis en place de cadre, nous somme en retard. Parce qu’on n’a pas encore de loi, bien que le projet vienne d’être adopté par le conseil de ministre. On pensé même qu’avec la législature, la loi allait être voté, mais malheureusement, il y a eu un retard à ce niveau ».
Pour lui, « Aujourd’hui, cette médecine est un sujet d’actualité et un enjeu de développement. c’est le premier recours en termes de soin dans la région africaine de l’Ouest de 80%. Pour nous, la médecine traditionnelle, si elle est impliquée comme elle se doit, au regard de ces enjeux (économique, de santé publique, socioculturel), nous pensons qu’elle pourra contribuer à la demande des populations ».
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