Les étudiants de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis exigent de l’Etat du Sénégal a résorbé la dette de plus de 1,6 milliards de francs Cfa que le Centre régional des œuvres universitaires et sociales (Crous) doit aux repreneurs des restaurants de ladite université. Ils menacent d’aller en grève si la situation n’évolue pas.
«Nous avons appelé aujourd’hui la presse pour leur faire part de notre cri du cœur sur ce qui passe à l’UGB. L’ouverture de l’année académique a connu un échec. Jusque-là, nous ne pouvons pas démarrer les cours, parce qu’il y a l’indisponibilité des œuvres universitaires. Cette indisponibilité qui est causée par une dette que le Crous doit aux prestataires des restaurants universitaires. Une dette qui s’élève à hauteur de 1 640 000 000 », dénonce Alioune Gueye, l'un des responsables des étudiants de l'UGB.
Et de poursuivre : «le Directeur du Crous était conscient de la situation. Parce qu’au moment où on partait en vacances, il s’avait que le Crous avait un problème. Et nous en tant que coordination des étudiants de Saint-Louis, nous tenons à interpeller l’ensemble des structures de médiation… pour qu'elles nous viennent en aide parce que nous avons besoin d’étudier. Notre avenir, ce sont les études ».
Ces étudiants se disent déterminés à mener le combat jusqu'à ce que la situation revienne à la normale.
«Nous avons appelé aujourd’hui la presse pour leur faire part de notre cri du cœur sur ce qui passe à l’UGB. L’ouverture de l’année académique a connu un échec. Jusque-là, nous ne pouvons pas démarrer les cours, parce qu’il y a l’indisponibilité des œuvres universitaires. Cette indisponibilité qui est causée par une dette que le Crous doit aux prestataires des restaurants universitaires. Une dette qui s’élève à hauteur de 1 640 000 000 », dénonce Alioune Gueye, l'un des responsables des étudiants de l'UGB.
Et de poursuivre : «le Directeur du Crous était conscient de la situation. Parce qu’au moment où on partait en vacances, il s’avait que le Crous avait un problème. Et nous en tant que coordination des étudiants de Saint-Louis, nous tenons à interpeller l’ensemble des structures de médiation… pour qu'elles nous viennent en aide parce que nous avons besoin d’étudier. Notre avenir, ce sont les études ».
Ces étudiants se disent déterminés à mener le combat jusqu'à ce que la situation revienne à la normale.
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