Les membres du mouvement citoyen ont manifesté ce samedi à la place de la Nation ex-Obélisque contre le parrainage et les violences policières. Munis de pancartes à travers lesquels on pouvait lire, stop aux violences policières ‘’dafa doy’’, la manifestation est un droit constitutionnel, non au parrainage, non aux violences fait aux femmes, une police soumise et corrompue à la solde d’un Etat pourri entre autres, Guy Marius Sagna et ces Camarades ont invité le ministère de l’Intérieur à leur donner des explications suite à leur arrestation et le traitement dont ils ont été victime le 23 mars dernier. Ils comptent déposer une plainte collective dans les jours à venir.
« Il y a une semaine de cela, nous étions allés manifester devant le ministère de l’Intérieur, et avons été victimes d’une arrestation. 18 de nos concitoyens dont moi-même avons été victimes de torture incroyable. Et aujourd’hui, nous sommes venus bien que c’est le mois de ramadans, exprimé notre désaccord par rapport à la nouvelle doctrine du ministère de l'Intérieur. La police sénégalaise et le ministre de l’Intérieur ont créé une unité constituée uniquement de voyou qui agresse qui torture les citoyens sénégalais. C’est pourquoi aujourd’hui nous sommes venu pour dénoncer cela et dire plus jamais que ça », a déclaré Guy Marius Sagna.
Poursuivant ses propos, le coordinateur du Frapp France Dégage soutient qu’ils vont saisir la justice au Sénégal, et également les institutions internationales. « Le mercredi 23 mars, nous avons été surpris, nous avons été torturés. Mais la prochaine fois nous allons résister. Nous rendrons des coups par des coups. Nous rendrons les insultes pars des insultes. Nous attendons que le ministère de l'Intérieur sorte un communiqué pour nous expliquer ce qui s’est passé le 23 mars dernier. Le ministère de l'Intérieur nous doit des explications. Tous ceux qui ont été victimes de blessure ont été invités à aller chercher des certificats médicaux et dans les jours à venir vous serez informés du jour où nous irons déposer une plainte collective. Nous saisirons la justice au Sénégal, et également, nous saisirons les institutions internationales. Parce que c’est tout simplement grave et cela ne doit plus se reproduire », dit-il.
Pire, révèle Guy Marius Sagna: « Je rappelle au policier, que le Commissaire Arouna Sy qui a participé à l’assassinat de dizaines de Sénégalais lors des événements du 23 juin, a failli être envoyé dans le cadre des missions de l’organisation des nation unis en Centrafrique. C’est quand les organisations des droits de l’homme ont déposé une plainte à l’international que Monsieur Arouna Sy a été interdit d’aller à l’international dans le cadre des maintiens de l’ordre ».
« Il y a une semaine de cela, nous étions allés manifester devant le ministère de l’Intérieur, et avons été victimes d’une arrestation. 18 de nos concitoyens dont moi-même avons été victimes de torture incroyable. Et aujourd’hui, nous sommes venus bien que c’est le mois de ramadans, exprimé notre désaccord par rapport à la nouvelle doctrine du ministère de l'Intérieur. La police sénégalaise et le ministre de l’Intérieur ont créé une unité constituée uniquement de voyou qui agresse qui torture les citoyens sénégalais. C’est pourquoi aujourd’hui nous sommes venu pour dénoncer cela et dire plus jamais que ça », a déclaré Guy Marius Sagna.
Poursuivant ses propos, le coordinateur du Frapp France Dégage soutient qu’ils vont saisir la justice au Sénégal, et également les institutions internationales. « Le mercredi 23 mars, nous avons été surpris, nous avons été torturés. Mais la prochaine fois nous allons résister. Nous rendrons des coups par des coups. Nous rendrons les insultes pars des insultes. Nous attendons que le ministère de l'Intérieur sorte un communiqué pour nous expliquer ce qui s’est passé le 23 mars dernier. Le ministère de l'Intérieur nous doit des explications. Tous ceux qui ont été victimes de blessure ont été invités à aller chercher des certificats médicaux et dans les jours à venir vous serez informés du jour où nous irons déposer une plainte collective. Nous saisirons la justice au Sénégal, et également, nous saisirons les institutions internationales. Parce que c’est tout simplement grave et cela ne doit plus se reproduire », dit-il.
Pire, révèle Guy Marius Sagna: « Je rappelle au policier, que le Commissaire Arouna Sy qui a participé à l’assassinat de dizaines de Sénégalais lors des événements du 23 juin, a failli être envoyé dans le cadre des missions de l’organisation des nation unis en Centrafrique. C’est quand les organisations des droits de l’homme ont déposé une plainte à l’international que Monsieur Arouna Sy a été interdit d’aller à l’international dans le cadre des maintiens de l’ordre ».
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