Le droit de "l’hommiste", Alioune Tine, n’est pas du tout rassuré de la situation actuelle du Sénégal. Il informe que l’image du pays est en train de se ternir aux yeux de la communauté internationale.
«Il faut que les choses se fassent pacifiquement, qu’elles soient gérables, quand ce n’est pas gérable, on ne sait pas jusqu’à quel niveau ça va aller. Parce que, qu’on le veut ou non, la communauté internationale considère le Sénégal comme un pays en crise», fulmine-t-il.
Il poursuit : «les diplomates sont en train de demander des avis par-ci par-là. Nous avons rencontré des gens de la CEDEAO et aux Nations Unies, aujourd’hui les gens commencent à être inquiets, il faut que chaque Sénégalais se sente concerné par cette question là».
Membre de la Société civile, Alioune Tine appelle, sur la Rfm, la classe politique au calme. «Les gens qui sont en colère et qui ont des raisons de la manifester, il faut le faire dans le calme, vraiment des textes constitutionnels, législatifs et réglementaires et que ceux d’en face, ne fassent ni la provocation ni la répression inconsidérée».
Il est d’avis que cette situation prè-électorale, qui rappelle les allures de celle de 2012, est le fruit des transitions ratées au Sénégal.
«Il faut que les choses se fassent pacifiquement, qu’elles soient gérables, quand ce n’est pas gérable, on ne sait pas jusqu’à quel niveau ça va aller. Parce que, qu’on le veut ou non, la communauté internationale considère le Sénégal comme un pays en crise», fulmine-t-il.
Il poursuit : «les diplomates sont en train de demander des avis par-ci par-là. Nous avons rencontré des gens de la CEDEAO et aux Nations Unies, aujourd’hui les gens commencent à être inquiets, il faut que chaque Sénégalais se sente concerné par cette question là».
Membre de la Société civile, Alioune Tine appelle, sur la Rfm, la classe politique au calme. «Les gens qui sont en colère et qui ont des raisons de la manifester, il faut le faire dans le calme, vraiment des textes constitutionnels, législatifs et réglementaires et que ceux d’en face, ne fassent ni la provocation ni la répression inconsidérée».
Il est d’avis que cette situation prè-électorale, qui rappelle les allures de celle de 2012, est le fruit des transitions ratées au Sénégal.
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