Ils ont ouvert le cortège en musique, mais aussi en colère : « On veut voyager librement, on a le droit », scandaient les manifestants. « Monsieur Sarkozy faites la guerre à la pauvreté, pas aux gens du voyage », pouvait-on lire sur des banderoles portées par des hommes en chapeau et des femmes aux robes multicolores.
En tête du cortège, Alexandre Romanès poète et directeur du célèbre cirque tsigane du même nom : « Je ne pense pas que ce soit une vraiment une affaire de racisme. Nous les problèmes que nous posons, c’est que nous sommes des pauvres. Mais maintenant dans le monde entier, les pauvres on en veut plus. Et, les sédentaires n’ont jamais accepté les nomades ».
Les manifestants réclament leur liberté et ils voudraient être traités comme tous les Français comme le souligne Laurent Elghozi membre fondateur de Roms Europe : « Les premiers coupables sont les maires et les préfets qui refusent d’appliquer la loi Besson. Il y a aujourd’hui, 15 000 places d’accueil alors que l'on prévoyait 42 000 places d’accueil ».
Annie militante de « Droit au logement » est surtout venue pour dénoncer le manque de respect envers les familles migrantes : « Cette façon de traiter la différence est symptomatique d’une démocratie malade, et les familles non seulement on les réprime mais en plus, on les méprise. A un moment ça , ça donnera de la colère ».
Tous les chemins mènent aux Roms explique l’un de leurs porte-paroles. Ce jour-là, les Parisien étaient venus nombreux tout au long du parcours pour apporter leur soutien.
En tête du cortège, Alexandre Romanès poète et directeur du célèbre cirque tsigane du même nom : « Je ne pense pas que ce soit une vraiment une affaire de racisme. Nous les problèmes que nous posons, c’est que nous sommes des pauvres. Mais maintenant dans le monde entier, les pauvres on en veut plus. Et, les sédentaires n’ont jamais accepté les nomades ».
Les manifestants réclament leur liberté et ils voudraient être traités comme tous les Français comme le souligne Laurent Elghozi membre fondateur de Roms Europe : « Les premiers coupables sont les maires et les préfets qui refusent d’appliquer la loi Besson. Il y a aujourd’hui, 15 000 places d’accueil alors que l'on prévoyait 42 000 places d’accueil ».
Annie militante de « Droit au logement » est surtout venue pour dénoncer le manque de respect envers les familles migrantes : « Cette façon de traiter la différence est symptomatique d’une démocratie malade, et les familles non seulement on les réprime mais en plus, on les méprise. A un moment ça , ça donnera de la colère ».
Tous les chemins mènent aux Roms explique l’un de leurs porte-paroles. Ce jour-là, les Parisien étaient venus nombreux tout au long du parcours pour apporter leur soutien.
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