« Il y a des leaders de l’opposition qui ont ouvertement déclaré qu’ils vont mettre le pays à feu et à sang si le Conseil constitutionnel valide ma candidature », plaide Me Wade au près de l’homme fort du mouridisme au Sénégal.
Pour assurer son interlocuteur qu’il maîtrise la situation, le président soutient qu’il ne se laissera pas faire. « Compte tenu des pouvoirs qui me sont conférés par la législation, je ne permettrais à personne de troubler l’ordre public », assure-t-il.
Et plus loin il met de « l’eau dans son vin ». « Je peux pardonner à ceux qui m’offensent personnellement, mais pas à ceux qui perturberont les intérêts du Sénégal et de Touba », affirme le premier magistrat de la République au pied du Khalife général des mourides.
Par ricochet, le « marabout suprême », par l’intermédiaire de son porte-parole, Serigne Abdou Khadre Bass Mbacké, a fait une mise en garde sans concession à l’endroit des convoitises politiques. Selon le porte-parole du Khalife général, « les gens qui se mettent à parler des choses d’ici-bas ici à Touba perdent leur temps et que rien ne l’éblouit dans cette vie ».
Auparavant Me Wade avait tenté vainement de séduire Touba et ses inconditionnels en affirmant clairement son appartenance à la confrérie fondée par Cheikh Ahmadou Bamba. « Sans vouloir offenser les autres confréries, je réaffirme mon appartenance au mouridisme » avait déclaré le président de la République selon le journal « Enquête ».
Le premier responsable du navire sénégalais enfonce le clou dans sa thèse d’appartenance. « Si j’appuie Touba plus que les autres cités religieuses, c’est parce que je suis mouride avant d’être président. Si je suis devenu président de la République, c’est grâce à Touba », réitère Me Wade.
Selon le journal « Enquête », le président de la République a eu un échange téléphonique avec le Khalife général Serigne Cheikh Maty Lèye sur la journée du 20 janvier prochain qu’il compte ériger en journée de solidarité.
Pour lancer une flèche à l’endroit de ses adversaires qui le qualifient de souffrant. Le président martèle qu’il « se porte bien ». Pour l’heure, la candidature Me Wade reste contestée par l’opposition et la société civile sénégalaise.
Pour assurer son interlocuteur qu’il maîtrise la situation, le président soutient qu’il ne se laissera pas faire. « Compte tenu des pouvoirs qui me sont conférés par la législation, je ne permettrais à personne de troubler l’ordre public », assure-t-il.
Et plus loin il met de « l’eau dans son vin ». « Je peux pardonner à ceux qui m’offensent personnellement, mais pas à ceux qui perturberont les intérêts du Sénégal et de Touba », affirme le premier magistrat de la République au pied du Khalife général des mourides.
Par ricochet, le « marabout suprême », par l’intermédiaire de son porte-parole, Serigne Abdou Khadre Bass Mbacké, a fait une mise en garde sans concession à l’endroit des convoitises politiques. Selon le porte-parole du Khalife général, « les gens qui se mettent à parler des choses d’ici-bas ici à Touba perdent leur temps et que rien ne l’éblouit dans cette vie ».
Auparavant Me Wade avait tenté vainement de séduire Touba et ses inconditionnels en affirmant clairement son appartenance à la confrérie fondée par Cheikh Ahmadou Bamba. « Sans vouloir offenser les autres confréries, je réaffirme mon appartenance au mouridisme » avait déclaré le président de la République selon le journal « Enquête ».
Le premier responsable du navire sénégalais enfonce le clou dans sa thèse d’appartenance. « Si j’appuie Touba plus que les autres cités religieuses, c’est parce que je suis mouride avant d’être président. Si je suis devenu président de la République, c’est grâce à Touba », réitère Me Wade.
Selon le journal « Enquête », le président de la République a eu un échange téléphonique avec le Khalife général Serigne Cheikh Maty Lèye sur la journée du 20 janvier prochain qu’il compte ériger en journée de solidarité.
Pour lancer une flèche à l’endroit de ses adversaires qui le qualifient de souffrant. Le président martèle qu’il « se porte bien ». Pour l’heure, la candidature Me Wade reste contestée par l’opposition et la société civile sénégalaise.
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