J’ai voulu, à ma façon, souhaiter la bienvenue à l’honorable « président » de la première puissance mondiale Mister Barack Hussein Obama en terre "Térangalaise". Je ne cache pas, cependant, mon désir enthousiaste d’accueillir surtout le leader "afro-américain" le plus charismatique et le plus en vue en ce début de siècle si prometteur pour le « continent noir ».
S’il nous faut, nous autres « africains d’Afrique », faire de sorte que les « afro-américains » se sentent chez eux partout en Afrique terre de leurs ancêtres, ils leur incombent, à eux, de penser, à l'exemple des "euro-américains", à revenir vers leur patrie d’origine pour y « implanter » « science » et « technologie » grâce aux transferts de connaissances acquises dans les domaines pointus du Savoir moderne. Tout comme les « euro-américains » l'ont fait pour leurs frères restés sur le « vieux continent ». Il faut savoir que toutes les grandes entreprises européennes sont d'origines américaines. Toutes les nouvelles sciences et les technologies récentes sont l'œuvre de firmes américaines. C'est grâce à une coopération et une solidarité actives entre "euro-américains et "européens" que la « vieille Europe » a pu se relever de plusieurs siècles de léthargie de torpeur et de déclin. En effet c'est la technologie et le savoir-faire américains qui ont redonné un nouveau départ à l'Europe décadente et vieillissante qu'ils considèrent comme leur « arrière-pays».
De la même façon les "afro-américains" doivent reconsidérer l'Afrique de manière nouvelle avec des ambitions fortes et progressistes. C'est de cette seule façon qu'ils pourront imposer leur puissance à "l'Occident Blanc " (blancs américains + européens) en s'adossant à des Etats africains économiquement et militairement forts. C'est à mon sens une des conditions sine-qua-non de l'avènement de la toute puissance de l’Homme Noir (Black Power). "L'afro-américanisme » est l'expression de la renaissance africaine. Ainsi, pour que se concrétise l'idée d’une Amérique "terre africaine", il est impératif que la réalisation de la prophétie du grand poète et homme politique sénégalais David Diop se poursuive sur le continent africain. La « renaissance de l’homme noir » qui s’est opérée en Amérique lieu désigné, par excellence, de toutes les « renaissances des peuples du monde moderne » doit être répercutée sur le sol africain. C’est ce que les expatriés japonais ont fait pour leur terre d’origine, c’est ce que les émigrés chinois ont fini de réaliser sur leur continent grâce à une diaspora dynamique et essentiellement extravertie à leur économie nationale. On pourrait avoir les mêmes éloges concernant la diaspora Indienne, juive, et désormais Arabe. Tous les peuples qui se sont rencontrés sur le sol américain pour y contribuer à la naissance de « l’homme nouveau » sont retournés chacun à sa terre d’origine pour la fertiliser avec les semences nouvelles arrachées de haute lutte en terre américaine. Je dis bien « tous » sauf « l’homme africain » occupé à combattre une société qui le niait et le piétinait outrageusement : esclavage, ségrégation raciale et bien d’autres atrocités encore qu’ici je ne saurais citer. Maintenant que le « leadership afro-américain » est devenu une évidence pour tous (Obama a été réélu sans grande difficultés), il est désormais grand temps que nos liens historiques et consanguins se muent en des liens de coopérations politiques, militaires, économiques et financières pour la gloire et la prospérité du "Monde Noir" Si les « afro-américains » veulent être forts et respectés en Amérique ils ont tout intérêt à aider les Etats africains à être forts et développés.
Jadis, dans la servitude et l’esclavage, ils avaient « planté » la canne à sucre qui a assurée la prospérité des usines américaines, vivement qu’ils reviennent aujourd’hui pour « implanter » des usines et des universités afin que nous leurs frères d’Afrique nous « plantions », à notre tour, « la canne » qui nous permettra de « sucrer » le développement qui nous garantira le bonheur tant convoité,… en vain.
Il faut que le raffermissement des liens entre les « afro-américains » et les « africains d'Afrique » se traduise dans la solidarité et à travers une coopération agissante à l’image de la célèbre métaphore de David Diop. Souvenez-vous « d’une Afrique symbolisée par l’Arbre qui repousse patiemment et obstinément» malgré tant de « zébrures rouges » endurées sur « les routes de midi » américains
L’homme africain a déjà fait sa « renaissance » en Amérique, c’est le moment maintenant pour le « continent » d’être touché par cette « Grâce ».
Travaillons-y en bonne intelligence : la main dans la main : il le faut absolument !
Mbacké Ndiaye
Bruxelles le 26 Juin 2013
Baker070703@yahoo.fr
http://mbackendiaye.blogspot.com
S’il nous faut, nous autres « africains d’Afrique », faire de sorte que les « afro-américains » se sentent chez eux partout en Afrique terre de leurs ancêtres, ils leur incombent, à eux, de penser, à l'exemple des "euro-américains", à revenir vers leur patrie d’origine pour y « implanter » « science » et « technologie » grâce aux transferts de connaissances acquises dans les domaines pointus du Savoir moderne. Tout comme les « euro-américains » l'ont fait pour leurs frères restés sur le « vieux continent ». Il faut savoir que toutes les grandes entreprises européennes sont d'origines américaines. Toutes les nouvelles sciences et les technologies récentes sont l'œuvre de firmes américaines. C'est grâce à une coopération et une solidarité actives entre "euro-américains et "européens" que la « vieille Europe » a pu se relever de plusieurs siècles de léthargie de torpeur et de déclin. En effet c'est la technologie et le savoir-faire américains qui ont redonné un nouveau départ à l'Europe décadente et vieillissante qu'ils considèrent comme leur « arrière-pays».
De la même façon les "afro-américains" doivent reconsidérer l'Afrique de manière nouvelle avec des ambitions fortes et progressistes. C'est de cette seule façon qu'ils pourront imposer leur puissance à "l'Occident Blanc " (blancs américains + européens) en s'adossant à des Etats africains économiquement et militairement forts. C'est à mon sens une des conditions sine-qua-non de l'avènement de la toute puissance de l’Homme Noir (Black Power). "L'afro-américanisme » est l'expression de la renaissance africaine. Ainsi, pour que se concrétise l'idée d’une Amérique "terre africaine", il est impératif que la réalisation de la prophétie du grand poète et homme politique sénégalais David Diop se poursuive sur le continent africain. La « renaissance de l’homme noir » qui s’est opérée en Amérique lieu désigné, par excellence, de toutes les « renaissances des peuples du monde moderne » doit être répercutée sur le sol africain. C’est ce que les expatriés japonais ont fait pour leur terre d’origine, c’est ce que les émigrés chinois ont fini de réaliser sur leur continent grâce à une diaspora dynamique et essentiellement extravertie à leur économie nationale. On pourrait avoir les mêmes éloges concernant la diaspora Indienne, juive, et désormais Arabe. Tous les peuples qui se sont rencontrés sur le sol américain pour y contribuer à la naissance de « l’homme nouveau » sont retournés chacun à sa terre d’origine pour la fertiliser avec les semences nouvelles arrachées de haute lutte en terre américaine. Je dis bien « tous » sauf « l’homme africain » occupé à combattre une société qui le niait et le piétinait outrageusement : esclavage, ségrégation raciale et bien d’autres atrocités encore qu’ici je ne saurais citer. Maintenant que le « leadership afro-américain » est devenu une évidence pour tous (Obama a été réélu sans grande difficultés), il est désormais grand temps que nos liens historiques et consanguins se muent en des liens de coopérations politiques, militaires, économiques et financières pour la gloire et la prospérité du "Monde Noir" Si les « afro-américains » veulent être forts et respectés en Amérique ils ont tout intérêt à aider les Etats africains à être forts et développés.
Jadis, dans la servitude et l’esclavage, ils avaient « planté » la canne à sucre qui a assurée la prospérité des usines américaines, vivement qu’ils reviennent aujourd’hui pour « implanter » des usines et des universités afin que nous leurs frères d’Afrique nous « plantions », à notre tour, « la canne » qui nous permettra de « sucrer » le développement qui nous garantira le bonheur tant convoité,… en vain.
Il faut que le raffermissement des liens entre les « afro-américains » et les « africains d'Afrique » se traduise dans la solidarité et à travers une coopération agissante à l’image de la célèbre métaphore de David Diop. Souvenez-vous « d’une Afrique symbolisée par l’Arbre qui repousse patiemment et obstinément» malgré tant de « zébrures rouges » endurées sur « les routes de midi » américains
L’homme africain a déjà fait sa « renaissance » en Amérique, c’est le moment maintenant pour le « continent » d’être touché par cette « Grâce ».
Travaillons-y en bonne intelligence : la main dans la main : il le faut absolument !
Mbacké Ndiaye
Bruxelles le 26 Juin 2013
Baker070703@yahoo.fr
http://mbackendiaye.blogspot.com
Autres articles
-
Commémorer Thiaroye 44 en ayant en mémoire toutes les violences coloniales commises dans le monde
-
Diomaye, la photo officielle du corps sacré (Par Bacary Domingo Mané)
-
La citoyenneté, socle de la rupture systémique (Par Bocar Kâne)
-
Analyse du rachat supposé de la Société générale sénégalaise par l'Etat du Sénégal SÉNÉGAL PAR L'ÉTAT DU SÉNÉGAL
-
Alerte : René Capain Basséne très mal en point après son admission à l’hôpital (Famille)