« J'ai entendu un gros boum et toutes les fenêtres de mon magasin ont cassé », a déclaré à l'AFP un commerçant, Ahmad Saleh. « Les vitrines d'une vingtaine de magasins, certains à un kilomètre du lieu de l'explosion, ont cassé », a-t-il ajouté. « C'est horrible. Ma maison s'est mise a trembler, mes enfants sont effrayés, ils n'arrêtent pas de pleurer » raconte pour sa part un résident de Kaboul qui vit seulement à quelques mètres du poste de police pris pour cible.
Selon le porte-parole du ministère de l'Intérieur, Nasrat Rahimi, « un véhicule rempli d'explosifs a explosé à l'entrée du commissariat de police dans l'ouest de Kaboul à 9h (4h30 TU) », sans plus de détails. D'après une vidéo visible sur les réseaux sociaux et des témoins, des tirs d'armes de petits calibres pouvaient être entendus après la déflagration.
De nombreuses personnes ont été transportées, blessées, dans les hôpitaux de la ville, a déclaré le porte-parole du ministère de la Santé, Wahidullah Mayar. La pluparts des victimes sont des passants et des commercants du quartier de Pul-e-Sokhta situé dans le sud-ouest de Kaboul. Plusieurs femmes et enfants figurent parmi les victimes fait encore savoir le ministère de la Santé, signale notre correspondante régionale, Sonia Ghezali.
Les violences ont fortement augmenté en juillet, le mois le plus sanglant depuis mai 2017, avec plus de 1 500 tués et blessés en Afghanistan, selon l'ONU. Elles continuent malgré les pourparlers entre Etats-Unis et représentants talibans qui mènent actuellement un huitième round de négociations à Doha.
Selon le porte-parole du ministère de l'Intérieur, Nasrat Rahimi, « un véhicule rempli d'explosifs a explosé à l'entrée du commissariat de police dans l'ouest de Kaboul à 9h (4h30 TU) », sans plus de détails. D'après une vidéo visible sur les réseaux sociaux et des témoins, des tirs d'armes de petits calibres pouvaient être entendus après la déflagration.
De nombreuses personnes ont été transportées, blessées, dans les hôpitaux de la ville, a déclaré le porte-parole du ministère de la Santé, Wahidullah Mayar. La pluparts des victimes sont des passants et des commercants du quartier de Pul-e-Sokhta situé dans le sud-ouest de Kaboul. Plusieurs femmes et enfants figurent parmi les victimes fait encore savoir le ministère de la Santé, signale notre correspondante régionale, Sonia Ghezali.
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