Georges Rebelo Pinto Chikoti est un diplomate de carrière. Il a été ministre des Affaires étrangères de l’Angola pendant plus de sept (7) ans. Il a rejoint Bruxelles en 2018 en tant qu’Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire au Royaume du Belgique et chef de mission auprès de l’Union européenne. Rebelo Pinto Chikoti a vécu à Abidjan avant de faire ses études supérieures en France. Il a, par ailleurs, une grande expérience en gestion des crises.
Georges Rebelo Pinto Chikoti déroule une campagne basée sur quatre axes : rendre le groupe ACP plus dynamique, assurer la stabilité financière à travers une bonne stratégie de mobilisation des ressources, des actions politiques liées à la visibilité, la création de marchés régionaux intégrés, renforcer la coopération multilatérale et enfin un quatrième et dernier axe majeur relatif aux questions climatiques et de résilience. Pour chacun de ces axes, le diplomate de carrière a décliné des ambitions.
L’ex-ministre des Affaires étrangères de l’Angola s’est fixé comme objectif de «parvenir à la transformation du Groupe ACP en une organisation transcontinentale efficace et active de premier plan du 21e siècle. En faire une organisation capable de travailler de manière solidaire afin d’améliorer les conditions de vie de ses peuples, par la promotion du dialogue politique, économique, sociale et grâce à la bonne gouvernance, l’éradication de la pauvreté, le renforcement des échanges, le développement durable et l’intégration équitable dans l’économie mondiale. Ceci, tout en tirant avantage du poids numérique que représentent ses 79 membres».
Georges Rebelo Pinto Chikoti déroule une campagne basée sur quatre axes : rendre le groupe ACP plus dynamique, assurer la stabilité financière à travers une bonne stratégie de mobilisation des ressources, des actions politiques liées à la visibilité, la création de marchés régionaux intégrés, renforcer la coopération multilatérale et enfin un quatrième et dernier axe majeur relatif aux questions climatiques et de résilience. Pour chacun de ces axes, le diplomate de carrière a décliné des ambitions.
L’ex-ministre des Affaires étrangères de l’Angola s’est fixé comme objectif de «parvenir à la transformation du Groupe ACP en une organisation transcontinentale efficace et active de premier plan du 21e siècle. En faire une organisation capable de travailler de manière solidaire afin d’améliorer les conditions de vie de ses peuples, par la promotion du dialogue politique, économique, sociale et grâce à la bonne gouvernance, l’éradication de la pauvreté, le renforcement des échanges, le développement durable et l’intégration équitable dans l’économie mondiale. Ceci, tout en tirant avantage du poids numérique que représentent ses 79 membres».
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