Les résultats montrent que la prévalence du VIH a baissé d’un quart, parmi les jeunes et cela a été constaté parmi les quinze pays les plus durement touchés par ce fléau.
Un chiffre important quand on sait que 8 jeunes contaminés sur 10, soit 4 millions d’individus vivent en Afrique subsaharienne. Un changement de comportement qui semble s’amorcer dans certains pays de ce continent.
Utilisation du préservatif de manière « plus accrue » selon les termes du rapport, pour des jeunes qui ont des partenaires multiples mais aussi qui ont démarré leur vie sexuelle plus tardivement, observent les experts.
Le Botswana, la Côte d’Ivoire, l’Ethiopie, le Kenya, le Malawi, la Namibie et le Zimbabwe ont déjà atteint l’objectif international de réduction de la prévalence à 25%. Quant au Burundi, au Lesotho, au Rwanda, au Swaziland, aux Bahamas et Haïti, ils sont en passe de l’atteindre d’ici la fin de l’année.
« Ainsi, tous les acteurs de cette lutte doivent se réorganiser pour innover en matière de riposte et inciter tous les pays à pérenniser leurs engagements et notamment les pays en développement qui peuvent le faire à s’investir dans la prise en charge du VIH et dans la santé » précise le directeur de l’ONUSIDA.
Dix millions de décès supplémentaires d’ici 2025 et un million, soit un tiers des nouvelles infections à VIH, pourraient être évités. Des objectifs envisageables pour l’organisation des Nations unies qui insiste sur une nouvelle approche : « en faire plus avec moins d’argent ».
Un chiffre important quand on sait que 8 jeunes contaminés sur 10, soit 4 millions d’individus vivent en Afrique subsaharienne. Un changement de comportement qui semble s’amorcer dans certains pays de ce continent.
Utilisation du préservatif de manière « plus accrue » selon les termes du rapport, pour des jeunes qui ont des partenaires multiples mais aussi qui ont démarré leur vie sexuelle plus tardivement, observent les experts.
Le Botswana, la Côte d’Ivoire, l’Ethiopie, le Kenya, le Malawi, la Namibie et le Zimbabwe ont déjà atteint l’objectif international de réduction de la prévalence à 25%. Quant au Burundi, au Lesotho, au Rwanda, au Swaziland, aux Bahamas et Haïti, ils sont en passe de l’atteindre d’ici la fin de l’année.
« Ainsi, tous les acteurs de cette lutte doivent se réorganiser pour innover en matière de riposte et inciter tous les pays à pérenniser leurs engagements et notamment les pays en développement qui peuvent le faire à s’investir dans la prise en charge du VIH et dans la santé » précise le directeur de l’ONUSIDA.
Dix millions de décès supplémentaires d’ici 2025 et un million, soit un tiers des nouvelles infections à VIH, pourraient être évités. Des objectifs envisageables pour l’organisation des Nations unies qui insiste sur une nouvelle approche : « en faire plus avec moins d’argent ».
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