L’appelle du khalife général des Tidiane pour l’institution d’une charte nationale pour l’unité conforte la position des Assises organisées, il y a quelques mois par une partie des Sénégalais.
C’est, en tout cas, l’avis du leader du Mouvement citoyen, Mme Penda Mbow. «Ce besoin de s’asseoir pour redéfinir des consensus est une nécessité absolue. On l’a dit avec les Assises» a déclaré l’historienne Penda Mbow.
C’est pourquoi elle est à cent pour cent avec l’appel de Serigne Mansour Sy. «Je suis d’avis qu’il y ait une réflexion entre les confréries, elles-mêmes, vers l’avenir et pour savoir comment juguler les démons de la division » se réjouit Penda Mbow d’autant plus «qu’il y a eu, ces derniers temps, beaucoup de discussions, beaucoup d’idées qui ont été émises et qui ont créé un peu la zizanie autour des familles religieuse. Mais, au-delà des familles religieuses, cela a concerné simplement les questions de religion qui deviennent de plus en plus sensibles».
Mme Penda Mbow estime que cette proposition rejoint l’initiative des assises nationales même si la démarche n’est pas la même. « Maintenant que les confréries s’en emparent pour réfléchir et définir une charte, c’est salutaire. Je pense qu’ils nous rejoignent ; c’est la même chose avec ce qu’on a fait pendant les Assises. Maintenant, c’est la démarche qui diffère mais les objectifs sont les mêmes : c’est l’unité» soutient-elle au micro de la Rfm.
Mais, le leader du Mouvement citoyen estime qu’on aurait pu éviter d’arriver à cette position si chacun se limitait à ce qu’il doit faire. «Je crois que si on était arrivé à ce que, dans nos identités multiples, chacun puisse se mouvoir sans porter atteinte à l’autre, peut-être qu’on n’aurait même pas besoin de se retrouver pour cette réflexion. C’est parce que chacun tire de son côté et chacun essaie de faire le maximum pour s’arroger le plus d’espace. C’est ce qui n’est pas, à mon avis normal et c’est ce qui est regrettable » se désole Penda Mbow.
C’est, en tout cas, l’avis du leader du Mouvement citoyen, Mme Penda Mbow. «Ce besoin de s’asseoir pour redéfinir des consensus est une nécessité absolue. On l’a dit avec les Assises» a déclaré l’historienne Penda Mbow.
C’est pourquoi elle est à cent pour cent avec l’appel de Serigne Mansour Sy. «Je suis d’avis qu’il y ait une réflexion entre les confréries, elles-mêmes, vers l’avenir et pour savoir comment juguler les démons de la division » se réjouit Penda Mbow d’autant plus «qu’il y a eu, ces derniers temps, beaucoup de discussions, beaucoup d’idées qui ont été émises et qui ont créé un peu la zizanie autour des familles religieuse. Mais, au-delà des familles religieuses, cela a concerné simplement les questions de religion qui deviennent de plus en plus sensibles».
Mme Penda Mbow estime que cette proposition rejoint l’initiative des assises nationales même si la démarche n’est pas la même. « Maintenant que les confréries s’en emparent pour réfléchir et définir une charte, c’est salutaire. Je pense qu’ils nous rejoignent ; c’est la même chose avec ce qu’on a fait pendant les Assises. Maintenant, c’est la démarche qui diffère mais les objectifs sont les mêmes : c’est l’unité» soutient-elle au micro de la Rfm.
Mais, le leader du Mouvement citoyen estime qu’on aurait pu éviter d’arriver à cette position si chacun se limitait à ce qu’il doit faire. «Je crois que si on était arrivé à ce que, dans nos identités multiples, chacun puisse se mouvoir sans porter atteinte à l’autre, peut-être qu’on n’aurait même pas besoin de se retrouver pour cette réflexion. C’est parce que chacun tire de son côté et chacun essaie de faire le maximum pour s’arroger le plus d’espace. C’est ce qui n’est pas, à mon avis normal et c’est ce qui est regrettable » se désole Penda Mbow.
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