Selon le parquet, l'ouverture de cette enquête préliminaire fait suite aux propos tenus par celui qui se présente comme un dirigeant du Front de libération de l'enclave du Cabinda (FLEC).
Le responsable exilé en France du mouvement séparatiste avait expliqué en début de semaine que "tous les coups" étaient "permis pendant la guerre". "Dans la guerre, tout peut arriver, cela ne fait que commencer", avait-il ajouté.
Ces propos avaient été jugés "inacceptables" par le Quai d'Orsay qui avait fait part de son intention de "faire toute la lumière sur les circonstances qui l'ont amené à faire de telles déclarations".
Dans la journée de vendredi, l'Angola avait protesté contre la France après cette revendication. Selon son ministre des Affaires étrangères Assuncao dos Anjos, l'Angola déplore le fait que le dirigeant séparatiste se déplace librement en France et n'ait pas fait l'objet de sanction pour ses propos.
Le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères Bernard Valéro a fait savoir lors d'un point-presse que la France ne souhaitait pas rentrer "dans une polémique avec l'Angola" sur ce sujet. "Dès que nous avons eu connaissance des déclarations inacceptables de M. Mingas, nous avons déclaré qu'elles ne resteraient pas sans suite", a-t-il poursuivi.
Pour que "ces suites soient le plus efficace possible, nous avons vérifié la nationalité de M. Mingas, qui est français. C'est dans ce cadre que des poursuites devront s'engager devant les juridictions françaises", a noté Bernard Valéro.
Mingas s'est exprimé à plusieurs reprises dans des médias occidentaux en utilisant un téléphone portable. Il a revendiqué la responsabilité de l'attaque qui visait selon lui les soldats angolais accompagnant l'autocar de l'équipe nationale du Togo.
Le chauffeur angolais de l'autocar a été tué, ainsi que l'entraîneur adjoint de l'équipe du Togo, Amélété Abalo, et l'attaché de presse, Stan Ocloo Togo. Le Togo s'est ensuite retiré de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) qui a lieu en Angola.
Le responsable exilé en France du mouvement séparatiste avait expliqué en début de semaine que "tous les coups" étaient "permis pendant la guerre". "Dans la guerre, tout peut arriver, cela ne fait que commencer", avait-il ajouté.
Ces propos avaient été jugés "inacceptables" par le Quai d'Orsay qui avait fait part de son intention de "faire toute la lumière sur les circonstances qui l'ont amené à faire de telles déclarations".
Dans la journée de vendredi, l'Angola avait protesté contre la France après cette revendication. Selon son ministre des Affaires étrangères Assuncao dos Anjos, l'Angola déplore le fait que le dirigeant séparatiste se déplace librement en France et n'ait pas fait l'objet de sanction pour ses propos.
Le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères Bernard Valéro a fait savoir lors d'un point-presse que la France ne souhaitait pas rentrer "dans une polémique avec l'Angola" sur ce sujet. "Dès que nous avons eu connaissance des déclarations inacceptables de M. Mingas, nous avons déclaré qu'elles ne resteraient pas sans suite", a-t-il poursuivi.
Pour que "ces suites soient le plus efficace possible, nous avons vérifié la nationalité de M. Mingas, qui est français. C'est dans ce cadre que des poursuites devront s'engager devant les juridictions françaises", a noté Bernard Valéro.
Mingas s'est exprimé à plusieurs reprises dans des médias occidentaux en utilisant un téléphone portable. Il a revendiqué la responsabilité de l'attaque qui visait selon lui les soldats angolais accompagnant l'autocar de l'équipe nationale du Togo.
Le chauffeur angolais de l'autocar a été tué, ainsi que l'entraîneur adjoint de l'équipe du Togo, Amélété Abalo, et l'attaché de presse, Stan Ocloo Togo. Le Togo s'est ensuite retiré de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) qui a lieu en Angola.
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