Huit personnes ont été arrêtées au Sri Lanka en lien avec la vague d'attentats qui a frappé dimanche l'île, faisant au moins 207 morts, a annoncé le Premier ministre Ranil Wickremesinghe. "Jusqu'ici les noms que nous avons sont locaux" mais les enquêteurs cherchent à savoir s'ils ont d'éventuels "liens avec l'étranger", a déclaré dans une allocution télévision le chef de gouvernement, sans donner davantage de précisions.
8 explosions au total ont eu lieu contre des hôtels et des églises. Le toit de l’église de Negombo, situé au nord de la capitale srilankaise a tout simplement été soufflé : il n’en reste que la charpente de bois. Au sol, des centaines de tuiles brisées, des bancs de messe en éclats et des victimes allongées, leurs vêtements tachés de sang.
Presque au même moment, des attentats visaient deux autres Eglises : l’une à Batticoala à l’Est du pays et l’autre à Colombo, dans la capitale srilankaise où trois hôtels de luxe, fréquentés par les touristes étrangers ont également été attaqués. Quelques heures plus tard, deux autres explosions ont à nouveau endeuillé le pays qui n’avait pas connu de telles violences depuis la fin de la guerre civile il y a 10 ans.
Les autorités ont décrété un couvre-feu et le blocage des réseaux sociaux pour empêcher la diffusion de fausses informations. Pour le moment, ces violences n’ont pas été revendiquées
8 explosions au total ont eu lieu contre des hôtels et des églises. Le toit de l’église de Negombo, situé au nord de la capitale srilankaise a tout simplement été soufflé : il n’en reste que la charpente de bois. Au sol, des centaines de tuiles brisées, des bancs de messe en éclats et des victimes allongées, leurs vêtements tachés de sang.
Presque au même moment, des attentats visaient deux autres Eglises : l’une à Batticoala à l’Est du pays et l’autre à Colombo, dans la capitale srilankaise où trois hôtels de luxe, fréquentés par les touristes étrangers ont également été attaqués. Quelques heures plus tard, deux autres explosions ont à nouveau endeuillé le pays qui n’avait pas connu de telles violences depuis la fin de la guerre civile il y a 10 ans.
Les autorités ont décrété un couvre-feu et le blocage des réseaux sociaux pour empêcher la diffusion de fausses informations. Pour le moment, ces violences n’ont pas été revendiquées
Autres articles
-
Tchad: Changement des formules de protocole à l’égard du Président de la République
-
Fédération Sénégalaise d’Escrime : Cécile Faye succède à Mbagnick Ndiaye
-
Guinée: une opération anticriminalité provoque des tensions avec la Sierra Leone
-
Donald Trump nomme le créateur de son émission de téléréalité émissaire au Royaume-Uni
-
Cyclone Chido: le bilan s'aggrave à 94 morts au Mozambique