La déconvenue de la Coalition Sopi 2009 est imputée en partie à la Génération du concret. Depuis l’annonce des résultats provisoires, des responsables libéraux ne cessent de monter au créneau pour faire porter le chapeau de la défaite à la Génération du concret et son leader, Karim Wade. Son second et secrétaire général de la présidence de la République, Abdoulaye Baldé défend son mentor. Le tombeur de Robert Sagna à la mairie de Ziguinchor a estimé que «les électeurs ont sanctionné de façon massive les élus locaux. Ils ont été sanctionnés de façon individuelle. C’est ce qui fait que les objectifs qui étaient fixés n’ont pas été atteints». Par rapport au rôle du fils du chef de l’Etat dans la défaite de la Coalition Sopi, il a fait savoir que «l’analyse globale qu’il faut faire de ces élections et ce que vous considérez comme le cas Karim Wade, c’est que les électeurs nous ont envoyé un signal parce qu’il y a la cherté de la vie, parce qu’aussi ils (les sénégalais) ont été déçus par les maires qui ont été en place. Je considère que l’image de Karim Wade n’a pas été quelque chose de négatif, la preuve quand il est venu à Ziguinchor, ça a été un raz de marée. C’était moins l’image de Karim que le pouvoir qu’il était censé représenter».
Le secrétaire exécutif de l’Agence Nationale pour l’Organisation de la Conférence Islamique (ANOCI) a interpellé sur l’avenir de la Génération du concret. «C’est tout à fait le début de ses ambitions. Nous allons vers une offensive beaucoup plus grande mais aussi de définition des relations que nous devons avoir entre nous Génération du concret et le PDS. Si nous allons continuer à être un mouvement à la lisière du PDS où intégrer carrément le PDS en faisant un courant. C’est un débat qui est agité et que nous allons dans les jours à venir clarifier définitivement», a-t-il indiqué. Avant d’ajouter : «si vous faites l’analyse individuelle de la Génération du concret, on se rend compte que dans les collectivités notamment le Sud où la Génération du concret est partie seule, elle a gagné. Nous avons gagné à Vélingara, à Goudomp. C’était la première fois qu’on sortait de l’ombre. Pour une première fois, cela n’a pas été aussi mauvais qu’on puisse le croire».
Le plan pour prendre le PDS
Le numéro deux de la Génération du concret de contre attaquer en accusant les élus libéraux d’avoir pesé sur leur débâcle. «Nous avons été un peu victime du passif de certains élus locaux du PDS. Dans les collectivités où on est partie avec eux, on s’est fait battre tous. Là où on est partie seul, on a plus ou moins gagné, on s’est classé deuxième après la coalition Bennoo Siggil Senegaal», a souligné Abdoulaye Baldé. Selon lui, «Karim Wade pourrait se retrouver à la tête de sa propre formation ou pourquoi pas du PDS. C’est un débat. Il faudrait que nous osions poser le problème de façon froide. Il faut nous fondre dans le PDS et contrôler la direction du PDS».
L’un des rares responsables du PDS à gagner les élections locales dans leur commune a pensé que ceux qui ont perdu doivent en tirer toutes les conséquences. «Forcément cette défaite va entrainer une recomposition au PDS. Je pense que les ténors libéraux qui ont été battus à plate couture dans leurs localités ne peuvent pas prétendre être à la tête d’un mouvement alors qu’ils ne contrôlent pas sa localité. Tous ceux qui ont perdu, je pense qu’au plan gouvernemental, on doit tirer les conséquences.
Le secrétaire exécutif de l’Agence Nationale pour l’Organisation de la Conférence Islamique (ANOCI) a interpellé sur l’avenir de la Génération du concret. «C’est tout à fait le début de ses ambitions. Nous allons vers une offensive beaucoup plus grande mais aussi de définition des relations que nous devons avoir entre nous Génération du concret et le PDS. Si nous allons continuer à être un mouvement à la lisière du PDS où intégrer carrément le PDS en faisant un courant. C’est un débat qui est agité et que nous allons dans les jours à venir clarifier définitivement», a-t-il indiqué. Avant d’ajouter : «si vous faites l’analyse individuelle de la Génération du concret, on se rend compte que dans les collectivités notamment le Sud où la Génération du concret est partie seule, elle a gagné. Nous avons gagné à Vélingara, à Goudomp. C’était la première fois qu’on sortait de l’ombre. Pour une première fois, cela n’a pas été aussi mauvais qu’on puisse le croire».
Le plan pour prendre le PDS
Le numéro deux de la Génération du concret de contre attaquer en accusant les élus libéraux d’avoir pesé sur leur débâcle. «Nous avons été un peu victime du passif de certains élus locaux du PDS. Dans les collectivités où on est partie avec eux, on s’est fait battre tous. Là où on est partie seul, on a plus ou moins gagné, on s’est classé deuxième après la coalition Bennoo Siggil Senegaal», a souligné Abdoulaye Baldé. Selon lui, «Karim Wade pourrait se retrouver à la tête de sa propre formation ou pourquoi pas du PDS. C’est un débat. Il faudrait que nous osions poser le problème de façon froide. Il faut nous fondre dans le PDS et contrôler la direction du PDS».
L’un des rares responsables du PDS à gagner les élections locales dans leur commune a pensé que ceux qui ont perdu doivent en tirer toutes les conséquences. «Forcément cette défaite va entrainer une recomposition au PDS. Je pense que les ténors libéraux qui ont été battus à plate couture dans leurs localités ne peuvent pas prétendre être à la tête d’un mouvement alors qu’ils ne contrôlent pas sa localité. Tous ceux qui ont perdu, je pense qu’au plan gouvernemental, on doit tirer les conséquences.
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